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Créé le : 30/03/2011 03:17
Modifié : 10/10/2022 05:02

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Année 2021 - Samedi 27 Mars La Pâque entre les deux soirs

25/03/2021 19:59

Année 2021 - Samedi 27 Mars La Pâque entre les deux soirs


L’Année du Covid 19

 

 

Maladie mondiale épidémiologique

 

 

Année de la Pâque 2021

 

 

Le Samedi 27 Mars, coucher du soleil à 19h

 

Le repas de la Pâque à consommer : « Entre les Deux Soirs »

 

Année 2021, année du « Coronavirus » soit le « Covid 19 », maladie planétaire ou les Pays riches s’en sortent mieux que les pays pauvres, toujours cette inégalité mondiale, mais riche ou pauvre les humains de la Terre sont dans le péché à sa grande majorité.

Jésus le Nazôréen c’est sacrifié pour rien ! Pourquoi tant de torture pour des humains qui ne savent pas dire « merci ! », l’ingratitude doit être le premier sentiment chez l’humain !

Je vais arrêter là, car moi aussi je suis un humain et comme tous mes semblables je suis rempli de péchés et tous les jours je pèche, même si je fais attention, car depuis qu’Adam est né le péché a été multiplié dès la naissance par cent-mille, alors déjà enfant nous devons nous battre contre le mal. EL-SHADDAÏ a dit : « Le mal est inscrit dans le cœur de l’homme dès sa jeunesse …. », en effet la perfection première de l’esprit, de l’intelligence, de la mémoire a disparue, l’humain en perdant de la grandeur squelettique, ainsi que la longévité de vie, perdait aussi le pourcentage d’intelligence. Les premiers humains antédiluviens connaissaient l’art des métaux, mais aussi des ondes entourant la Terre, ainsi que l’atome et le nucléaire, il en existe des traces sur toute la Terre, je n’invente rien. Maintenant le plus intelligent des humains ne se sert que de dix-huit pourcents maximums de la capacité cérébrale humaine voilà ce que l’humain a perdu, mais il était tombé bien plus bas, car je me souviens dans ma jeunesse nos anciens qualifiés disait que l’humain ne se servait que de dix pourcents, voire douze pourcents pour les plus intelligents, de la capacité cérébrale.

« L’homme n’a pas été créé autrement que les anges, il a été créé pour demeurer pur et juste et la mort qui corrompt toute chose les aurait épargnés, mais leurs connaissances les font périr. » (I Hénoch LXIX : 11)

Déjà le milieu Mars et voilà trois mois que je ne vous ai pas écrit, le cerveau n’étant plus cela et je viens de sortir de l’hôpital, alors je tiens à vous dire que cette année, pour vous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, la Pâque est le Samedi 27 Mars, après le coucher du soleil.

Je réitère comme chaque année, la Pâque pour nous c’est de refaire le repas de Jésus le Nazôréen qui représente symboliquement notre libération de la prison idolâtre des religions terrestres, particulièrement celle de la plus importante avec son Jésus-Christ, la Croix et son « Signe », l’Esprit Saint, qui comme Jésus-Christ est une personne et un Dieu et j’ai oublié le Dieu, « Dieu », le tout représentant la « Sainte Trinité ». Cette libération est aussi importante que la libération des hébreux par Moïse de la servitude égyptienne.

Jésus le Nazôréen c’est sacrifié pour la race humaine pourquoi ? Son Père géniteur deux fois, la première fois aux Cieux, quand EL-SHADDAÏ décréta d’avoir un fils par sa propre volonté, par lui-même car ce Dieu est androgyne, la seconde fois quand il inséra son spermatozoïde dans l’ovule féminin de Marie, dont le corps avait été lavé du péché adamique afin qu’il soit parfait, pour que sa progéniture soit sans tache, afin que l’équivalence avec Adam avant sa transgression soit valable.

Trois jours après sa mort par la torture romaine de la crucifixion, une fois ressuscité par « son Père EL-SHADDAÏ », il recevait des mains de celui-ci la Royauté des Cieux, uniquement celle-là. La royauté terrestre, Jésus le Nazôréen la recevra après le « Jour de Colère » de son Père, quand ce dernier aura ressuscité tous ceux qui doivent être ressuscité, jusqu’au dernier. Croyez-vous que Jésus le Nazôréen est le Roi de la Terre en ce moment ? Sûrement pas ! C’est « SAMMAËL » qui est le Prince de la Terre aujourd’hui, c’est son Royaume avec tout le Firmament qui entoure la Terre, c’est son domaine, car pensez-vous que c’est Jésus le Nazôréen qui est Roi de la Terre ? Impossible ! Impensable ! Voilà deux millénaires qu’EL-SHADDAÏ a abandonné la Terre, il l’a laissé aux humains, leur laissant la liberté, puisque se sont des petits « Dieux » sur la Terre ! Oui Mais vous comme moi, nous avons foi en « Lui », c’est notre « Dieu » le seul l’unique, son Fils est notre Roi, mais ce n’est pas un Dieu, seul son Père est « Dieu » lui et pas un autre ! Alors pourquoi nous abandonne-t ’il ?

Et, là, je suis un ingrat ! Car il veille sur chacun de nous, et sur notre famille ! Là personnellement j’en ai la preuve mon épouse en est témoin et le Docteur Marchetti, mon épidémiologiste cancérologue, constate sans rien y comprendre, que « mon Cancer, un Carcinome Épidermoïde avancé » avait en l’espace de quatre jours disparus, et pour elle cela fait partie des mystères de la médecine, des phénomènes incompréhensibles, inexplicables. Surtout qu’au « CHAL » - Centre Hospitalier Alpes Léman -, ainsi qu’au CHU de Grenoble, voulaient me couper les deux pieds pour stopper les parties les plus touchées de la maladie et continuer pendant six mois une « Unimiothérapie » toutes les trois semaines. C’est là que « l’Esprit d’Intelligence » m’a guidé pour demander un autre avis par l’intermédiaire des conseils de mon fils au Centre de Cancérologie de Lyon Bérard dans le service de dermatologie. Et là tout s’est enchainée merveilleusement bien et rapidement, car deux semaines après j’étais au CHU de Lyon-Sud, Service Dermatologie Cancéreuse pour un mois.

Cela m’a prouvé qu’EL-SHADDAÏ faisait attention à chacun de nous, si nous, nous étions prêts à suivre ses Lois et Préceptes avec notre cœur, sans hypocrisie, et pour les chrétiens et autres en abandonnant l’idolâtrie.

Comme écrit dans les premières lignes, je me demandais pourquoi Jésus le Nazôréen c’était sacrifié pour sauver l’humain, ce dernier étant dans une ingratitude mémorielle et pourtant son Père pardonna à ce « Peuple » je ne sais combien de fois, ce « Peuple » hébreux tous descendant d’un même homme, un humain parmi les nations qui le cherchait et qu’il avait choisi lui- même. Et ce « Peuple » hébreu vient d’un seul homme, Abraham, qui lui vient de la descendance d’un des quarante hommes qui avaient foi en EL-SHADDAÏ et qui passèrent le temps du Déluge, eux qui étaient la filiation d’Adam.

EL-SHADDAÏ, laissa pendant 2246 ans l’humain gérer la Terre, et il regretta d’avoir façonné l’homme et la femme, oui amèrement il décida d’anéantir l’humain, et tous les animaux qu’il avait créés, bêtes et bestioles de l’infiniment petits à l’infiniment grand ! Oui il se repentit d’avoir inventé l’humain et à cause de ce pantin qu’il avait créé de ses propres mains, à son image, sa ressemblance, son reflet, il allait perdre son « Défit » avec SAMMAËL et cela le mettait dans une colère noire et plus il réfléchissait et plus l’amertume montait à la gorge. Oui ! Mais voilà, parmi tous les humains il y avait un petit nombre qui suivait ses Lois et Préceptes et qui le priait, Lui, et pas un autre, car à cette époque il n’existait qu’un seul et unique « Dieu » qui parlait avec les humains, EL-SHADDAÏ, mais les humains s’inventèrent des « Dieux » pour tout et rien, pour narguer leur « Dieu », le défier, le provoquer, le ridiculiser, disant « nous aussi nous avons des Dieux, des dieux que nous faisons ! ». A cette époque l’humain mesurait environ quatre mètres et pesait trois-cents kilogrammes. N’oublions pas que ces premiers humains vivaient entre sept-cent-cinquante et neuf-cent-cinquante ans, qu’ils descendaient de la perfection, donc ils se servaient de quatre-vingt-pourcent de leur cerveau, que le vieillissement se faisait extrêmement doucement, que leur intelligence était très grande, ainsi que leur mémoire. Je réitère, ils connaissaient l’atome, des ondes que nous n’avons pas encore trouvées, le nucléaire, et des sciences que nous ignorons aujourd’hui. Je n’invente rien, ce sont les vestiges sous-marins qui parlent pour nous, en laissant dans les fonds marins du Globe terrestre un grand nombre de vestiges, mais aussi dans les déserts et steppes des Continents de la Planète Terre. Ce Dieu devait savoir que l’humain serait dans la méchanceté et le mal, puisqu’il fit mourir un grand nombre de « justes » avant de déclencher son Déluge, et qu’il les ressusciterait quelques millénaires plus tard. Mais ce secret il le garda pour Lui, sans en parler à son Fils.

Deux millénaires passèrent après le Déluge, et l’humain était devenu pire que ses ancêtres antédiluviens, seul le mal comptait pour eux, alors EL-SHADDAÏ choisit un humain vertueux parmi les nations en pensant faire de sa descendance des humains droits et purs et pour les reconnaître il les marqua dans leur chair par la circoncision.

De cet humain, Abraham, qui nommait son « Dieu » EL-SHADDAÏ, est sorti un « Peuple » en quatre-cent-trente ans en Égypte, terre étrangère, et ce « Peuple » choisi par le « Dieu » d’Abraham, fut libéré de l’esclavage égyptien, à la même époque que le renouveau de la nature, car pour tous ces humains, soient six-cents-mille hommes de pieds, cette délivrance allait être un renouveau, comme la nature qui, après l’endormissement hivernal, se réveillait doucement avec les nouvelles pousses d’herbe, des nouveaux bourgeons sur les arbres, les jours qui rallongeaient, et se réchauffaient, annonçaient la nouvelle parure de la nature.

Ce « Peuple » fut guidé par un homme du nom de Moïse, « l’AMI » du Dieu d’Abraham, EL-SHADDAÏ, cet humain qui aimait de cœur ce Dieu, en suivant ses Lois et Préceptes, et qui par sa tenue devint « l’AMI » de ce Dieu avec le temps. EL-SHADDAÏ bénit cet humain en lui donnant des pouvoirs surnaturels, pour libérer son « Peuple » de la servitude égyptienne. Les hommes de pieds étaient des humains capables de marcher longtemps, de se battre, de faire la guerre, et le jour de la libération il faut ajouter les femmes, enfants, vieillards.

Ce « Peuple », sous l’autorité de Moïse, leur guide, traversa la Mer Rouge et s’installa sur les contreforts du Sinaï les montagnes volcaniques à l’époque, avec des volcans en éruption. C’est sur cette chaine de montagne qu’il y a eu le « buisson ardent », mais aussi c’est sur une de ces montagnes volcaniques de mille huit-cents mètres environ à deux-mille- deux-cents mètres approximativement, que Moïse monta pour recevoir toutes les Lois pour le Peuple et celles inscrites dans la pierre avec le doigt d’EL-SHADDAÏ, qui seront les « Tables de la Loi ». C’est aussi sur cette montagne que Moïse connaîtra et étudiera pendant quarante jours et quarante nuits le passé, le présent et l’avenir de la race humaine, jusqu’à la dernière génération, mais aussi l’histoire des Cieux. Ce « Peuple », qui grâce à Abraham parle la langue divine qui avait disparue à la dispersion humaine de la tour de Babel avec le changement d’aspect, couleur de peau, et le changement de langage, et cette langue fut l’hébreu littéraire, celui de la nouvelle civilisation, et comme dans toute langue il y a le langage de la rue, le populaire, et il y a eu l’araméen qui est devenu le parler des échanges commerciaux, maritimes, internationaux de tout le bassin méditerranéen.

C’est sur les contreforts de cette montagne du Sinaï que le jour de Pâque fut institué. Le mois du renouveau de la nature devint le premier mois de l’année, c’est le mois d’Abib, égal le mois babylonien de la Diaspora le mois de Nisân. Le jour de la Pâque sera le quatorzième jour après la Nouvelle Lune, et le quinzième jour, jour de la Pleine Lune, sera le premier jour des pains Azymes, pains sans levain, ce qui fais pour nous que la Pâque se trouve dans les mois de Mars-Avril et cette année le jour de la Pâque pour nous les « Enfants » d’EL-SHADDAÏ, sera le Samedi 27 Mars au soir, après le coucher du soleil vers 19h11mn à Paris et dans ma région de Genève c’est à 18h56mn. N’oublions pas que le jour hébreu commence le soir après le coucher du soleil. Nous devons manger la Pâque « entre les deux soirs », c’est-à-dire après le coucher du soleil à l’horizon et la nuit noire, c’est le moment où le ciel est d’un bleu nuit profond, presque noir, et cela nous le voyons uniquement loin des villes ou la réverbération de l’éclairage de la ville ne se voit plus comme dans le désert aride des montagnes iraniennes, irakienne, arménienne, géorgienne et anatolienne, vers vingt-trois, vingt-quatre heure le ciel est noir, c’est le second soir.

La Pâque représente pour nous notre libération du carquois des autres religions, particulièrement de la chrétienté et de l’islâm, symbolisant les deux tiers de l’idolâtrie mondiale, cela il me semble que je vous l’avais déjà écrit. Cette fête qu’EL-SHADDAÏ nous demande de respecter pour deux raisons, la première pour se souvenir du sacrifice de son « Fils » unique, avec ce repas institutionnel une fois l’an et c’est tout, car ce jour par les gestes que le chef de famille fait, et ses paroles, nous demandons à notre Père Céleste de nous pardonner nos péchés, nos fautes, Jésus le Nazôréen étant notre « ROI », notre assesseur, toute l’année, notre médiateur aussi auprès de son Père et son Dieu, et la seconde pour notre libération de cœur et d’Esprit en nous donnant un « Esprit Sain », propre, sans tache, par « l’Esprit d’Intelligence » que notre Père Céleste nous envoie, comme un vent, par un souffle une bise.

A notre mort, grâce au sacrifice de Jésus le Nazôréen, en attente de notre résurrection, après notre Jugement, déclaré non Juste alors nous errerons dans le Firmament sans jamais avoir de repos ballotté entre le bien et le mal, ou déclaré Juste alors en attendant nous irons dans une demeure nous reposant, ou encore déclaré « Sain » alors nous resterons aux Cieux avec les fidèles, des fidèles avec des humains comme Esdras, Baruch, Énoch, Abraham, Jean, Pierre, Thomas, Nathanaël, et des milliers d’autres à louer notre Père Céleste et servir notre ROI aux labeurs qu’ils nous donneront le Fils Jésus le Nazôréen et notre Dieu seul et unique Lui, et pas un autre, EL-SHADDAÏ notre Père terrestre et peut être Céleste si nous en avons été digne.

Pour notre repas de Pâque nous allons façonner un pain sans levain comme EL-SHADDAÏ nous le demande : un peu de farine tamisé, faire un puits, mettre l’eau au milieu du puit et mélangé l’eau et la farine, ajouter un œuf, salé ou sucré légèrement, mélangé le tout afin que cela fasse une jolie boule de pâte qui ne colle pas aux doigts, divisé cette boule en plusieurs petites boules de pâte, puis avec une bouteille ou un rouleau à pâtisserie étaler la pâte pour que cela fasse une fine galette, et posé au four au thermostat le plus élevé, environ 15mn environ, surveiller, peut-être plus ou moins.

Après le coucher du soleil vous mangerez la Pâque en rompant la galette de pain, et le chef de famille expliquera que ce pain représente , ou remplace l’holocauste que faisaient les prêtres sur l’autel et non le corps de Jésus le Nazôréen car cela représenterai du cannibalisme, car quand Jésus le Nazôréen rompt le pain en disant : « prenez et mangez ceci est mon corps » il se considérait comme un agneau que l’on mène à l’abattoir pour l’holocauste, car sur l’autel ou l’on fait rôtir la viande, soit l’agneau, le cabri, le bœuf, ou la tourterelle, il y a tout un rituel que seul le prêtre connait avec des prières pour le pardon des péchés, et quand Jésus le Nazôréen dit en prenant son verre de vin : « prenez et buvez ceci est mon sang » c’est le sang de l’agneau que l’on verse aux quatre coins de l’autel avec des prières toujours pour l’adoration à EL-SHADDAÏ et le pardon des péchés des humains. Rien à voir avec le corp et le sang de Jésus le Nazôréen, car d’un côté c’est du cannibalisme et de l’autre c’est bafoué une loi de son Père sur le sang : « vous ne mangerez aucune bête étouffée, un animal avec son sang », donc à ce repas de la Pâque qui est un repas comme un autre, simplement il faut manger une viande rôtie, un pain sans levain, et un verre de vin, de préférence du bon vin, car la table est un plaisir pour EL-SHADDAÏ.

Vous mes semblables, n’oubliez pas qu’à votre table vous aurez deux invités de marque, votre Père et votre Dieu, et aussi votre Roi, les deux seront là, car je ne sais pas si vous l’avez constaté, mais ce soir-là, votre cœur est gros, et il bat plus fort, la gorge se serre, pourquoi ? Seul notre Dieu connaît la raison !

Vous me pardonnerez de ne pas vous avoir écrit plus tôt, mais le cerveau ne fonctionne plus à la vitesse de la jeunesse, et la maladie n’arrange rien, même si le Cancer à disparue, la maladie veineuse est toujours là et les infirmières viennent tous les jours ne soigner mes jambes et mes pieds.

Bon repas de Pâque, alors je réitère, le jour hébreu commence du coucher du soleil au coucher du soleil, alors le samedi soir à partir de 19h environ, début du quinzième jour et fin du quatorzième, et au menu il y aura un pain sans levain, une viande rôtie, dont si, il y a un os, celui-ci ne sera pas brisé, rompu, et se repas sera accompagné d’un verre de vin.

Alors portez-vous bien ! Prenez soin de vous et de votre famille !

Salutations cordiales à Tous

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 



coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (16/12/2021 13:20) :

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Fêtes Chrétiennes - Jour de l'An - Fête Païenne ou Chrétienne ?

30/12/2019 18:21

Fêtes Chrétiennes - Jour de l'An - Fête Païenne ou Chrétienne ?


Fête du Jour de l’an 2020

 

 

 

Jour de l’AN, Fête païenne ou

 

Chrétienne ?

 

 

Baptême ou circoncision de Jésus le

 

 

Nazôréen

 

 

 

 

 

Jésus le Nazôréen est hébreu, juif en français, et le huitième jour après sa naissance il doit être offert à EL-SHADDAÏ par la circoncision, donc s’il est né un 25 décembre le baptême par la circoncision doit avoir lieu le 1er Janvier.

Autour du Bassin Méditerranéen, en montant jusqu’en Europe centrale, disons comme frontière les fleuves, d’un côté le Danube, le Rhin, l’ile Angle, de l’autre l’Indus, toute l’Asie Mineure, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord les Empires se font et se défont, Mèdes, Perses, Assyriens, Babyloniens, Grecques et Romains. Les divinités changent souvent de nom, tout en gardant leur statut originel tel que Cybèle, Reine des Cieux, nommée aussi Astarté déesse de Babylone, tout comme Tammuz qui est Adonis chez les Grecs.

Quels étaient les marques de festivités générales dans ces pays et régions du Solstice d’Hiver et de la nouvelle année sachant que toutes ces festivités ont eu pour berceau la Mésopotamie, en particulier la ville de Babylone, l’Égypte, la Grèce et pour terminer Rome.

Commençons par les festins, la ripaille !

Isaïe LXV :11-12

« Quant à vous tous qui abandonnez Yahvé, qui oubliez ma montagne sainte, qui dressez à Gad une table, qui versez à pleine coupe des mixtures pour Meni, je vous destinerai à l'épée, tous, vous courberez l'échine pour être massacrés, car j'ai appelé et vous n'avez pas répondu, j'ai parlé et vous n'avez pas écouté; vous avez fait ce qui est mal à mes yeux, vous avez choisi ce qui me déplaît. »

En Écosse et dans les pays Scandinaves les humains fêtaient le dernier jour de l’année, nommé Hogmanay, qui est toujours de rigueur aujourd’hui simplement que le vin nouveau est remplacé par un grand verre de whisky.

Les racines de Hogmanay remontent peut-être aux fêtes païennes du Solstice d'Hiver parmi les scandinaves, incorporant les coutumes de la célébration gaélique du nouvel an, Samhain. En Europe, elles étaient devenues les fêtes des Saturnales, un évènement festif romain de l'hiver. 

Les vikings fêtaient Yule, qui contribua plus tard aux douze jours de Noël, ou Daft Days,  « jours stupides », comme ils étaient parfois appelés en Écosse. Les festivités de l'hiver devinrent clandestines avec la Réforme Protestante en 1545 environ, mais furent tolérées à la fin du XVIIème siècle.

Dans le sud de l'Écosse, la communauté sait qu’à Hogmanay, ou la veille du nouvel an, parmi ceux qui observent encore les vieilles coutumes, ils préparaient une table avec des gâteaux et autres friandises qu’ils offraient, certains distribuant des galettes de gruau et de fromage à ceux qui n'en voyaient jamais, qu'à cette occasion, le tout accompagné d’une boisson forte entrant pour une large part dans le menu du jour.

Il y a de nombreuses coutumes, nationales comme locales, associées avec Hogmanay. La coutume nationale la plus courante est la pratique du first-footing, prenant place immédiatement après minuit. Ceci consiste à être la première personne à franchir le pas-de-porte d'un ami ou voisin, et fait souvent intervenir le don d'un cadeau symbolique comme du sel, moins courant actuellement, du charbon, un whisky ou un petit pain noir, sorte de gâteau riche avec des fruits confis. Ce don vise à apporter différents types de chance au propriétaire de la maison.

Dans la mythologie scandinave, Yule est le moment de l'année où Heimdall, de son trône situé au pôle Nord, accompagné des Æsirs, l'Ansuzgardaraiwo, revient visiter ses enfants, les descendants de Jarl l’un des innombrables noms d’Odin. Ils visitent ainsi chaque foyer pour récompenser ceux qui ont bien agi durant l'année, et laissent un présent dans leur chaussette. Cette fête nordique et scandinave durait douze jours, du Solstice d’Hiver à la nouvelle année

Quand le christianisme commença son expansion en pays scandinaves et nordiques au IX siècle, les Prélats de cette religion associèrent rapidement cette fête païenne importante en la christianisant avec la naissance de Jésus-Christ.

Babylone au XVIIIème siècle av. l’EC., était le centre du monde civilisé. Cette ville, où plutôt cette région était le centre de la propagation du paganisme jusqu’aux extrémités de la Terre.

Ainsi les coutumes du Solstice d’Hiver qui existent encore aujourd’hui sous l’appellation « Fêtes de Noël et de Fin d’Année » jettent une lumière étonnante sur les révélations de la grâce faite à toute la Terre, au sens spirituel, prouvant à l’humanité qui veut bien réfléchir, le pouvoir de SAMMAËL qui se nomme aussi Béliar, Mastéma, Satan, Belzébuth, plus tous les autres, et ses émissaires Shémêhaza, Hermoni, Baraqiel, Aratagif, Kokabiel, Sahriel, etc …, sur l’humain, en l’influençant sur l’idolâtrie, les science occultes comme l’astrologie, la divination, le spiritisme, le charme et l’enchantement pour travestir la vérité.

Vous mes semblables, sans entrer dans toutes ces sciences occultes, je peux certifier que SAMMAËL à d’énormes pouvoir sur la race humaine, qu’il peut, ce servant d’humain, se déguiser en « Ange de Lumière », mais qu’il peut au moyen des ondes existantes autour de la planète Terre, faire apparaître une « Madone », mais aussi jouer le rôle antique des guérisseurs, comme à Lourdes où dans d’autres lieux de la Terre, les « Marchands du Temple » faisant fortune par le manque de raisonnement de la race humaine.

Oui ! Comme souvent je l’écris, l’humain est responsable de lui individuellement. Ne faites pas comme Ève ou Adam en rejetant sa propre faute sur autre chose, ayez le courage de reconnaître votre faute, votre péché, cette action est le début du sentier qui mène à ce Dieu unique, votre dieu « Dieu » que je nomme EL-SHADDAÏ.

D'après les poètes latins Ovide, Fastes, Virgile, Énéide, Saturne détrôné par son fils Jupiter, et réduit à la condition de simple mortel, vint se réfugier en Italie, dans le Latium, où il rencontra le dieu du commencement, Janus. Avec lui, il inventa l'âge d'or : l'égalité des conditions fut rétablie ; aucun homme n'était au service d'un autre. C'était pour rappeler la mémoire de cet âge heureux que les humains célébraient à Rome et dans l’Empire, les Saturnales, d'abord du 17 au 21 décembre, puis plus tard du 17 au 25 décembre.

Pendant ces fêtes, ils suspendaient la puissance des maîtres sur leurs esclaves, et ceux-ci avaient le droit de parler et d'agir en toute liberté. Tout ne respirait alors que le plaisir et la joie. Les tribunaux et les écoles étaient en vacances. Il n'était permis ni d'entreprendre aucune guerre, ni d'exécuter un criminel, ni d'exercer d'autre art que celui de la cuisine. Ils s'envoyaient des présents, et ils donnaient de somptueux repas. De plus tous les habitants de la ville cessaient leurs travaux, la population se portait en masse vers le mont Aventin, comme pour y prendre l'air de la campagne. Les esclaves pouvaient critiquer les défauts de leurs maîtres, jouer contre eux, et ceux-ci les servaient à table.

Les hommes et les femmes portaient des guirlandes autour du cou et s'offraient toutes sortes de menus-cadeaux en terre cuite. Les gens sacrifiaient aussi symboliquement un mannequin représentant un jeune homme, pensant ainsi transmettre la vitalité du personnage à la nouvelle année. Cette fête des sigillaires, « ancêtre » de la Saint Sylvestre, concluait les festivités à la fin du mois de décembre.

Un marché spécial avait lieu, le sigillaria. Des figurines étaient suspendues au seuil des maisons ainsi qu’aux carrefours.

Tous les Romains criaient dans la rue :

« Bonnes Saturnales ! ».

Les humains du XXème et XXIème siècle pensaient avoir tout inventé avec leur Marché de Noël, alors que tout cela existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen-Âge !

Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque. Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

Venons maintenant au christianisme

Comme souvent, cela s’est passé dans les Cieux avant que ce ne soit sur Terre. Comme écrit en avant, Jésus le Nazôréen est passé dans les cieux par les stades de développement jusqu’à ce qu’il soit « mature », qu’il ait l’âge de raison, l’âge où il devient responsable de lui-même, de ses actes.

Ce Dieu, EL-SHADDAÏ, par amour pour l’humain, envoya son Fils sur la Terre comme un humain, puisqu’il mit son spermatozoïde dans l’ovule d’une femme qui fut rendu parfaite de corps, après avoir, à l’âge de trois ans supprimé la tare adamique.

Protévangile de Jacques XIX : 1-3, XX : 1-4 cela commence par une discussion entre la Sage-Femme et Joseph

19.1. Et je vis une femme qui descendait de la montagne et elle m'interpella :

--- « Eh, l'homme, où vas-tu ? »

« Je vais chercher une sage-femme juive. »

« --- Es-tu d'Israël ? »

« Oui » !

« --- Et qui donc est en train d'accoucher dans la grotte ? »

[Et Joseph dit à la sage-femme : « C'est Marie, ma fiancée, mais elle a conçu de l'Esprit saint, après avoir été élevée dans le temple du Seigneur. »

« C'est ma fiancée. »

« --- Elle n'est donc pas ta femme ? »

« C'est Marie, celle qui a été élevée dans le temple du Seigneur. J'ai été désigné pour l'épouser, mais elle n'est pas ma femme, et elle a conçu par le « Souffle d’Intelligence. »

«--- Est-ce la vérité ? »

« Viens et vois ! »

Et elle partit avec lui, et ils s'arrêtèrent à l'endroit de la grotte.

Une obscure nuée enveloppait celle-ci. Et la sage-femme dit :

«--- Mon âme a été exaltée aujourd'hui car mes yeux ont contemplé des merveilles : le salut est né pour Israël. »

Aussitôt la nuée se retira de la grotte et une grande lumière resplendit à l'intérieur, que nos yeux ne pouvaient supporter. Et peu à peu cette lumière s'adoucit pour laisser apparaître un petit enfant. Et il vint prendre le sein de Marie, sa mère. Et la sage-femme s'écria :

« Qu'il est grand pour moi ce jour ! J'ai vu de mes yeux une chose inouïe. »

Et la sage-femme sortant de la grotte, rencontra Salomé et elle lui dit :

« Salomé, Salomé, j'ai une étonnante nouvelle à t'annoncer : une vierge a enfanté, contre la loi de nature. »

Et Salomé répondit :

« Aussi vrai que vit le Seigneur mon Dieu, si je ne mets mon doigt et si je n'examine son corps, je ne croirai jamais que la vierge a enfanté. »

XX : 1-4

Et la sage-femme entra et dit :

« Marie, prépare-toi car ce n'est pas un petit débat qui s'élève à ton sujet. »

A ces mots, Marie se disposa. Et Salomé mit son doigt dans sa nature et poussant un cri, elle dit :

« Malheur à mon impiété et à mon incrédulité ! J'ai tenté le Dieu vivant ! Et voici que ma main se dessèche, sous l'action d'un feu. »

Et Salomé s'agenouilla devant le Maître, disant :

« Dieu de mes pères, souviens-toi que je suis de la lignée d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Ne m'expose pas au mépris des fils d'Israël, mais rends-moi aux pauvres. Car tu sais, ô Maître, qu'en ton nom je les soignais, recevant de toi seul mon salaire. »

Et voici qu'un ange d’EL-SHADDAÏ parut, qui lui dit :

« Salomé, Salomé, le Maître de toute chose a entendu ta prière. Etends ta main sur le petit enfant, prends-le. Il sera ton salut et ta joie. »

Et Salomé, toute émue, s'approcha de l'enfant, le prit dans ses bras, disant :

« Je l'adorerai. Il est né un roi à Israël et c'est lui. »

Aussitôt Salomé fut guérie, et elle sortit de la grotte, justifiée. Et voici qu'une voix parla :

« Salomé, Salomé, n'ébruite pas les merveilles que tu as contemplées, avant que l'enfant ne soit entré à Jérusalem. »

Une femme était impure pendant quinze jours après l’accouchement, donc elle ne pouvait pas donner le sein avant cette purification. Là, Marie donne le sein, après l’accouchement sans aucune douleur, à l’enfant ce qui prouve sa pureté.

Par cette action EL-SHADDAÏ donne la confirmation au monde que la mère et l’enfant sont de corps parfait.

Alors pourquoi un livre comme le Nouveau Testament, livre écrit soi-disant sous « inspiration Divine », fait-il abstraction de cette perfection corporelle de Marie ainsi que de Jésus le Nazaréen celui-ci ayant été modelé en son sein, donc naissant humain sans la tare génétique donné à la descendance humaine par Adam et Ève suite à leur transgression volontaire d’une Loi d’EL-SHADDAÏ ?

Vous comprenez pourquoi les humains ont déclaré ce Livre apocryphe !

Nous sommes en 325 et le christianisme n’a pas de fête sur la naissance d’un « dieu » pendant les « Saturnales » et le « Solstice d’Hiver » en son sein.

Alors d’où vient ce nouveau « dieu », « Jésus-Christ » né un 25 décembre, lui aussi ?

Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’Hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.

Pour certain il faut toujours des preuves alors en voici une ci-dessous.

Justinien Ier ou Justinien le Grand, né le 11 mai 483 en Illyrie, mort le 14 novembre 565, fut empereur byzantin de 527 jusqu'à sa mort en 565.

Justinien se conçoit comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe, soit dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie[].

Il veut gouverner l’Église en maître, et, en échange de la protection et des faveurs dont il la comble, il lui impose sa volonté, se proclamant Empereur et Prêtre, comme un Pontifex-Maximus[]. L’action législative de Justinien s’inscrit dans la durée, avec une attention toute particulière pour l’Église. En effet, l’empereur est un chrétien sincère et il s’estime, le dirigeant suprême de l’Église.

Le christianisme est, d’un point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration des biens ecclésiastiques.

C’est lui, l’Empereur, qui gère toute l’Église de l’époque la séparation entre l’Orient et l’Occident ne sera effective qu’au XIème siècle.

Pour mémoire le 6 Janvier était fêté à la fois la Nativité, l’Adoration des Mages et le baptême de Jésus-Christ. Seule l’Église arménienne a conservé l’usage ancien de cette date.

La première « Anno Domini » est traditionnellement considérée comme l'année qui a su


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Fêtes Chrétiennes - Noël 2019 - Naissance d'un Dieu, Jésus-Christ

23/12/2019 05:55

Fêtes Chrétiennes - Noël 2019 - Naissance d'un Dieu, Jésus-Christ


Fête du Christianisme un 25 Décembre

 

 

Naissance d’un Dieu, Jésus-Christ

 

 

Le plus grand mensonge religieux

 

 

 

Noël et le 25 Décembre, le Christianisme a purement inventé cette fête pour mettre les païens dans son giron.

J’appelle cela faire un accord avec le « Diable » c’est-à-dire éloigner de la vérité d’innombrables humains.

Je certifie que le Christianisme est la religion de SAMMAËL, Prince de cette Terre, la démonstration par l’histoire ci-dessous. Après avoir lu, vous aurez beaucoup de mal à m’insulter de menteur où autres noms plus péjoratifs et grossiers.

J’aimerai que devant votre conscience vous reconnaissiez cette vérité imparable écrite ci- dessus

Le Christianisme est l’adoration du « MAL » !

A dire vrai, ma santé corporelle n’étant pas du mieux, en effet je viens du CHU de Grenoble et comme j’ai ce Cancer avancé de la peau, ils veulent toujours me couper les deux pieds, alors je n’ai pas trop de courage à chercher des textes historiques pour vous prouver l’exactitude de mes écrits, afin de vous emmener sur le sentier qui mène vers mon Maître EL-SHADDAÏ, ce Dieu unique, qui est, entre autre, le même « Dieu » que le dieu « DIEU » de tous les Chrétiens, sans aucune exception, mais aussi le « Dieu » de tous les humains de la Terre.

Étant comme vous imparfait, je fais preuve d’égoïsme en n’écrivant pas, et je dois être un parangon pour vous, mon Maître, EL-SHADDAÏ, me laissant libre de mes actions. Pour vous, mes semblables, dans cette période où le Prince de la Terre, Sammaël, se délecte des actions et pensées humaines, je dois impérativement être un soutien moral par mes textes, vous menant sur le chemin de vérité qui est celui de ce Dieu unique EL-SHADDAÏ.

Nous sommes au Solstice d’hiver ou la nuit, c’est-à-dire les Ténèbres sont le double de la Lumière, soit le jour.

Les humains se créèrent un nombre incalculable de Dieux et de Déesses et les adorèrent à la place de l’Être Suprême, mais tous croyaient en un Dieu supérieur aux autres.

Sur toute la Terre le Soleil et la Lune représentaient les Déesses et les Dieux voilà pourquoi beaucoup de prêtrises considéraient la naissance de ces divinités au Solstice d’Hiver.

Le solstice d’Hiver était fêté sur la Terre entière comme il convenait dans la région du globe ou vous étiez. Dans l’hémisphère sud le Solstice d’Hiver se fêtait quand dans notre hémisphère Européen nous étions en été. En effet ce Solstice devait cette réputation et toutes les fêtes qui l’accompagnaient à la fin des « Ténèbres » et au renouveau de la « Lumière ». Le soleil reprenait du temps sur la nuit, et la terre se réchauffait signe du renouveau de la nature.

Dans l’antiquité, nos ancêtres, dans toute l’Europe ainsi que dans le Moyen-Orient fêtaient ce Solstice de l’Hiver. En effet c’était une période de repos, les armures étaient enlevées et les armes déposées. Les humains ne pensaient plus à la guerre. Pour le monde paysan il en était de même, les moissons terminées, le foin et le regain entassés dans les granges, les outils rangés, les bêtes rentrées à l’étable.

Toute l’Europe, le Proche et Moyen Orient, la péninsule Arabique et l’Afrique du Nord fêtaient le Solstice d’Hiver à la même période, avec un tampon de huit jours environ. Mais tous fêtaient ce phénomène astronomique qui était la fin de la course annuelle du soleil et le commencement d’un nouveau cycle. À ce symbole de la renaissance du soleil était accolée la naissance d’un ou plusieurs Dieux qui portaient des noms différents selon la région ou le pays tout en étant le même.

Les Sabéens d'Arabie, qui regardaient la lune et non le soleil comme le symbole visible de l'objet favori de leur culte, observaient la même époque comme la fête de la naissance du grand libérateur.

Nous lisons dans la « Philosophie Sabéenne » de Stanley :

« Le vingt quatrième jour du dixième mois, c'est-à-dire décembre, selon le calendrier Arabe, ceux-ci célébraient le jour de la naissance du Seigneur, c'est-à-dire, la Lune ».

Dans beaucoup de pays La Lune était mâle et le Soleil femelle. Le Seigneur Lune était le grand objet de culte des pays sémitiques, et ce Seigneur Lune était né un 24 décembre, ce qui montre clairement que la naissance qu'ils célébraient n'avait aucun rapport nécessaire avec le cours du soleil.

Les Celtes, Saxons et les Nordiks, comme pour les Arabes avec leur Dieu Lune Nanna, célébraient la naissance de leur Dieu Lune, Mané, un 25 décembre.

Ci-dessous les remarques de quelques écrivains comme --KITTO, vol. IV, p. 66. -- WILKINSON, vol. V, p. 10 --

« Le nom de Gad se rapporte au dieu de la guerre, car il signifie attaquer mais aussi celui qui assemble, et sous ces deux idées on peut l'appliquer à Nemrod, qui était un dieu soleil en tant que premier guerrier célèbre, voir la Bible dans la Genèse X, pour avoir, réuni les hommes en communautés sociales.

Le nom de Meni, celui qui compte, semble un synonyme de Cush ou Chus, couvrir ou cacher, mais aussi compter ou démontrer. Le vrai sens du nom de Cush est donc « celui qui compte ou le calculateur » car tandis que Nemrod son fils était le propagateur du système idolâtre de Babylone, il était réellement, plus tard, en qualité de Mercure, Dieu romain, le créateur de ce système, car il apprit aux hommes à s'approcher de la Divinité par des prières et des sacrifices et comme l'idolâtrie et l'astronomie sont étroitement unies, il devait être habile dans la science des nombres.

Or, Cush, est le premier qui découvrit les nombres, la géométrie, l'astronomie, les jeux de hasard, d'échecs et il était, d'après une allusion au sens du nom de Cush, probablement appelé « Nombre, le père des dieux et des hommes ». En Chaldéen le (i) prend souvent la forme du (e) final, ainsi Meni correspond à Mené, celui qui compte, en hébreu. Nebû, fils de Mardouk assimilé à la planète Mercure le dieu de Babylone, était le même dieu qu’Hermès, dieu grec, lui-même assimilé au dieu romain Mercure.

Cela montre l'emphase de la sentence divine annonçant à Balthazar son destin :

Daniel V : 25-28,

« L'écriture tracée, c'est : Mené, Mené, Teqel et Parsîn.

Voici l'interprétation de ces mots : Mené : El-Shaddaï a mesuré ton royaume et l'a livré ; Teqel : tu as été pesé dans la balance et ton poids se trouve en défaut ; Parsîn : ton royaume a été divisé et donné aux Mèdes et aux Perses.»,

ce qui revient à dire: « Celui qui compte est compté. » La coupe était l'emblème de Cush d'où l'usage de lui verser la boisson sacrée.

Or, Mercure, le calculateur en Égypte, identifié à la lune qui sert à compter les mois, était appelé seigneur de la lune et comme distributeur du temps il tenait une branche de palmier, emblème d'une année

Ainsi, Gad était le dieu du soleil et Meni, le dieu Lune. »

Comme en Égypte ou Isis est la déesse lunaire, considéré comme une « Déesse Mère » qui serait né au Solstice d’Hiver c’est-à-dire fin décembre.

Sans beaucoup d’erreurs, je peux certifier qu’une grande partie de l’humanité, bien avant la naissance d’un certain Galiléen, fêtait le solstice d’hiver, car beaucoup de divinité étaient nés à cette époque. Le paganisme et le religieux se mélangeaient de tel manière qu’il était difficile d’établir une frontière.

Aujourd’hui au XXIème siècle, en cette période de fin d’année, au solstice de l’hiver, où la nuit fait le double du jour, la situation mondiale est exactement la même, il suffit de constater.

Cette période de fin d’année était la fête des Saturnales dans toute l’Europe, où l’on vénérait le sapin car il restait toujours vert, mais on le mettait dans l’âtre car il dégageait une odeur agréable, de plus il crépitait et mille étoiles partaient de sa combustion. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient le sapin était remplacé par le palmier.

Dans l’antiquité comme au Moyen-âge on mettait dans l’âtre une bûche qui devait brûler une dizaine de jours qui représentait le cycle des nuits les plus longues de l’année. Selon les régions et les croyances la bûche était d’essence différente.

A cette fête païenne est venue s’ajouter la religion avec ses « Dieux ». Dans le Nord de l’Europe c’est le Dieu « Odin » que l’on vénérait et dans l’empire romain c’était le Dieu « Saturne »

Les Saturnales, bien entendu, honoraient Saturne, le dieu du feu, nommé Kronos ou Cronos dans la mythologie grecque. Saturne était le dieu du Soleil et des semailles parce que la chaleur de ce Soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens et parfois les Romains l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Kronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz, Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu », en tant que Nemrod ressuscité en la personne de son fils, Moloch ou Baal comme l’appelaient aussi les druides. Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimroth, le Nemrod de la Bible, fils de Koush, fils de Cham, fils de Noé.

Nemrod est considéré comme le père de tous les dieux babyloniens dont Mithra

Mithra est une divinité indo-européenne. Plusieurs documents hittites confirment son existence dès le IIème millénaire avant J.-C. Dans la Perse antique, le culte obtint une véritable importance.

Il se développa à Rome probablement à partir du premier siècle de notre ère, sans que l'on sache exactement quand et comment il fut introduit dans l'empire et s'est principalement répandu en Italie, en Grande Bretagne, sur le Rhin et le Danube.

Ce culte était particulièrement populaire dans les armées, essentiellement chez les soldats et les centurions bien que quelques légats soient attestés. Beaucoup d'esclaves et d'affranchis comptaient également parmi ses fidèles.

Il est à noter que la fixation à la date du 25 décembre du Solstice d'hiver est due à une erreur commise par l'astronome Sosigène, lors de la réforme du calendrier à l'initiative de Jules César en 46 avant J.-C., qui fixa les débuts des saisons avec un retard de un ou deux jours par rapport à la réalité.

Ce culte à Mithra, le Mithragan, avait pris beaucoup d’ampleur à Rome, et dans les garnisons ou l’on célébrait le jour de sa naissance, victoire de la Lumière sur les Ténèbres, Soleil Invaincu, Sol Invictus, un 24 ou 25 décembre avec faste.

Le culte de ce dieu Mithra, Soleil Triomphant, eut son apogée sous l’Empereur Aurélien au IIIème siècle de notre ère.

Aurélien né le 9 septembre 214-215 et mort en septembre 275, est empereur romain de l'été 270 à septembre 275.

Le christianisme, dès lors, devient une religion concurrente du mithracisme, culte de Sol Invictus.

Ce culte gardera sa prestance jusqu’au début du IVème siècle. Il perdra petit à petit son influence après que Constantin le Grand suite à sa victoire au Pont de Milvius sur Maxence en 312 déclarera le christianisme comme religion de l’Empire en 325 au Concile de Nicée. 

En l’an 270, 275, sous le règne de l’Empereur Romain Aurélien le christianisme ne représente que quatre à cinq pourcents de toutes les religions du Bassin Méditerranéen.

Comme Aurélien, quarante années plus tôt, Constantin le Grand déclare le « Christianisme » religion de l’Empire et en ait le « Pontife Primat »

Constantin le Grand comme beaucoup de « Saint » de l’époque épousera la religion chrétienne par le baptême, que sur son lit de mort.

Pour le moment dans tout l’Empire on fête le « Solstice d’hiver » ainsi que la naissance des divinités Sol Invictus et Mithra.

A cette époque la fête de la naissance de Jésus le Nazaréen n’existe pas.

Ce n’est pas Jésus-Christ qui créa le christianisme, mais un ensemble d’humains, qui, voyant cette nouvelle mouvance de « Jésus le Nazôréen », non structurée, prendre de l’ampleur, décidèrent de gérer tout cet ensemble hétéroclite par des dogmes écrits par eux qui feront force de Lois, oubliant, transformant, réécrivant les « Enseignements originels » de Jésus de Nazareth retransmis par ses Apôtres et Disciples puis par des apôtres fait apôtre par les Apôtres que l’on nommera les « Pères Apostoliques ».Ceux qui, un siècle et demi, voire deux siècles après la mort de Jésus de Nazareth, commencèrent à structurer toutes ces « assemblées » ou « églises » seront appelés les « Pères de l’Église ».

Selon l'évangile de Luc, Joseph accompagné de son épouse Marie, qui était sur le point d'accoucher, était venu à Bethléem afin de s'y faire recenser. N'ayant pas trouvé de place à l'auberge, ils s'installèrent dans une étable, dans laquelle Jésus serait né. Marie y plaça son bébé dans une crèche, mangeoire à bestiaux. La fête du Jour de la Nativité est aussi appelée plus couramment Noël.

Luc II : 1-7

« En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre — ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. — Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine.

Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David, appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David.

Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte.

Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter.

Et elle mit au monde son fils premier-né. Elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune. »

Histoire de rire !

Jésus le Nazaréen, est né entre -7 à -5 avant J-C., disons plutôt avant l’EC., vers la fin du mois de Septembre ou le début du mois d’Octobre puisque les bergers sont encore dans les pâturages avec leur troupeaux la nuit, la saison des pluies n’étant pas encore là.

Adam Clarke Commentary cite volume 5, page 370, édition New York :

« Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque, et de les ramener au bercail au début des premières pluies. Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, Jésus-Christ n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs la nuit. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, mois de « Tishri » en hébreu. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique. »

Confirmation par les écrits bibliques

Luc II : 8-12, 15-18, 20

« --- Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.

L'Ange d’EL-SHADDAÏ -- du Seigneur -- se tint près d'eux et la gloire d’EL-SHADDAÏ -- du Seigneur -- les enveloppa de sa clarté. Ils furent saisis d'une grande crainte.

Mais l'ange leur dit :

« Soyez sans crainte, car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple. Aujourd'hui vous est né un Sauveur, dans la ville de David.

Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. »

Le Protévangile de Jacques, livre apocryphe qui explique toutes les Nativités, celle de Marie, Mère de Jésus le Nazaréen, et celle de celui-ci, à aucun moment ne cite une commémoration de la naissance d’Emmanuel, c’est-à-dire Jésus.

Nous sommes au milieu du IVème siècle.

L’Évêque de Rome, Libère, en 354 de l’EC., décide que la chrétienté devait aussi fêter la naissance d’un « Dieu ».

Libère en déclarant officiel la naissance de Jésus le Nazôréen, dit Jésus-Christ un 25 décembre, faisait du funambulisme, renforçant la pensée dogmatique de ceux qui considéraient Jésus le Nazôréen comme un « dieu », détournant les fêtes païennes du Solstice de l’hiver, des naissances le 25 décembre des divinités Sol Invictus et Mithra en les intégrant à une fête religieuse qui en n’était pas une, puisque non existante.

L’histoire a de temps en temps une réalité comique, car une festivité païenne devenir une fête religieuse tout en restant festive à une date où aucune fête de la dite religion existe, cela tient du « miracle » si je peux m’exprimer ainsi.

La fête chrétienne de la « Nativité » date de l’AN 354.

C’est l’Évêque de Rome, Libère, qui décide en 354, que Noël sera fêté le 25 décembre et qui codifie les premières célébrations pour pouvoir assimiler les fêtes populaires et païennes, célébrées autour du Solstice d'Hiver. Cette nouvelle date est rapidement adoptée en Orient, un sermon de saint Jean Chrysostome l’atteste et, depuis la fin du IVème siècle, elle supplante la date antique du 6 janvier.

Oui ! Comme vous l’avez remarqué j’écris « Évêque et non Pape » car le Pape chrétien n’existe pas encore.

En premier un condensé historique rapide de cette fête de la Nativité, c’est-à-dire Noël.

C'est après la conversion de l'Empire romain au christianisme que le 25 décembre reçut une nouvelle fonction, celle de célébrer la naissance de celui qui était maintenant appelé la « Lumière du Monde » et le « Soleil de Justice ».

En 425, l'empereur d'Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël, fête désormais exclusivement chrétienne

En 440, l’Évêque de Rome, Sixte III, institua la Messe de Minuit.

En 506, le Concile d’Agde fait de Noël une fête d’obligation.

En 529, l’empereur byzantin Justinien le Grand en fait un jour chômé.

Progressivement, la fête de Noël fut imposée dans toutes les contrées de l'empire carolingien

En 461 en Irlande

En 604 en Angleterre

En 615 en Suisse

En 754 en Allemagne

En 865 dans les pays scandinaves

En 997 en Hongrie

A partir du XIIème siècle, Noël était devenue la plus grande et la plus populaire des fêtes de l'Occident et de l’Orient chrétien.

Les faits historiques de toutes ces fêtes chrétiennes de fin et début d’année sont des fêtes ou l’hypocrisie de cette religion est au maximum, car ce sont des Saturnales déguisées.

Alors voyons ensembles la dégradation des Enseignements de Jésus le Nazaréen. Là-haut, dans les Cieux, son Père et Lui-même doivent dire que ces humains sont indécrottables.

Vous ne pourrez pas nier ces faits d’histoire !

Nous voilà au XIIIème siècle.

La naissance de Jésus le Nazaréen un 25 décembre est entrée dans les mœurs et fait partie des dogmes indémontables des Églises Chrétiennes avec le soir du 24 décembre une « Messe de la Nuit » à minuit.

Giovanni di Pietro Bernardone --- 1182-1226 --- est un religieux catholique italien. Fils d’un riche commerçant, il mène la belle vie et organise des sorties orgiaques avec ses condisciples. Puis il participe à la guerre contre la noblesse d’Assise et de Pérouse. En 1202 il est pris et condamné à un an de prison. Pendant cette captivité il sera atteint d’une maladie « honteuse » qui calmera ses ardeurs. (maladie sexuelle de l’époque inconnue aujourd’hui)

Giovanni di Pietro Bernardone entrera en religion en l’an 1206.

Je reconnais que là …, je me suis tenue légèrement hypocrite car en écrivant ces quelques lignes ci-dessus, je me délectais ! …

En effet, ce Monsieur Bernardone est quand même un grand « SAINT » de la chrétienté puisqu’il porte le nom de « Saint François d’Assise ».

Nous devons à Monsieur d’Assise la crèche, car en 1223 il fit jouer les gens de son village de Greccio la scène de la « Nativité » auquel il ajouta le bœuf et l’âne en plus des Rois Mage, des bergers, des paysans, avec Joseph, Marie, et pour représenter l’enfant il avait mis une grande hostie dans le berceau. Tous ces gens jouèrent le jeu un 24 décembre à la messe de minuit dans une grotte de Greccio.

L’année suivante, suite à un voyage de François d’Assise chez le Sultan Damiette, les cloches furent ajoutées pour annoncer l’heure des offices et de la prière.

Tous les ans l’Ordre des Franciscains réitérait la crèche et l’hostie fut remplacée par un réel nourrisson.

Cette coutume de la crèche de Noël se propagea dans toute la chrétienté.

Ceci est l’histoire d’une fête dite religieuse alors que du début à la fin ce n’est que paganisme.

Rien, absolument rien de biblique, tout fut façonné par l’humain.

J’espère qu’un grand nombre d’entre vous, vont réfléchir à la véracité de ces textes et qui vont quitter cette religion de Sammaël pour suivre les Lois de l’Être Suprême et les Enseignements de son fils Jésus le Nazôréen.

La Bible n’a jamais interdit de faire la fête, alors faisons la fête puisque c’est une période de réjouissance et faisons continuer les « Légendes », mais à aucun prix n’allons adorer, vénérer la naissance d’un « Dieu » quelconque, se nommerait-il Jésus-Christ.

En effet rien que de mettre un sapin dans la maison et le décorer, est une marque d’adoration à l’arbre puisque cette coutume date de deux à trois mille ans avant Jésus-Christ. Si en plus au pied vous mettez une crèche alors l’adoration est certaine.

Maintenant décorer sa maison de mille feux avec des guirlandes et des boules pour fêter la fin de l’année, là, s’il n’y a pas de signes ostentatoires d’adoration du Divinité quelconque le mal n’y ait pas.

Alors je vous souhaite bonne réjouissance et mangez, ne buvez pas plus que vous ne pouvez supporter, car les excès entraînent souvent l’humain sur des sentiers néfastes, en paroles et en actions et il ne lui reste de cette fête que des larmes, aigreurs, remords.

Cette lecture est finie. Il reste vous et votre conscience pour venir vers ce Dieu que je nomme EL-SHADDAÏ, ce Dieu unique qui, si vous le méritez, vous ressuscitera au temps voulu pour que vous viviez dans la joie et le bonheur éternellement.

Voilà un but magnifique pour vivre sur cette Terre misérable en suivant librement les Lois de ce Dieu SHADDAÏ et les Enseignements de son Fils Jésus le Nazôréen.

Portez-vous bien !

Salutations cordiales !

Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO »

 






Fête Chrétienne- la Toussaint, 3jours, 3 fêtes

27/10/2019 17:28

Fête Chrétienne- la Toussaint, 3jours, 3 fêtes


Fête Païenne du 31 Octobre « Halloween »

 

Et le lendemain

 

La fête chrétienne du 1er Novembre la

 

« Toussaint »

 

Et le lendemain

 

Fête chrétienne et païenne, 2 Novembre

 

« Fête des Morts »

 

 

Trois jours qui se suivent, trois

 

 

FÊTES

 

 

Nous approchons bientôt de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration, la vénération, la glorification, du Roi de ce monde, je parle de SAMMAËL, celui que vous considérez comme le « Prince du « Mal ». »

« Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier des statues de pierre, de bois, de fer, représentant hommes et femmes disparus.

La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !

Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque, ce dernier allant officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.

Le lendemain vous chrétien vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.

Quel jour de l’hypocrisie !

Vous mes semblables ne leur ressemblez pas ! Laissez vos morts en paix, ils ne sont que poussière et si vous allez sur la tombe du souvenir choisissez un autre jour, une autre semaine, un autre mois, car la plus belle tombe et celle du cœur, personne ne le voit, personne ne le sait, sauf celui qui nous a offert le « Souffle de Vie ».

Les Celtes vécurent il y a trois mille ans dans ce qu’on appelait à l’époque, l’Irlande, l’Angleterre, la petite Bretagne, la Gaule, une partie de l’Europe Central, jusqu’en Asie Mineure en Galatie. Les Celtes étaient des adorateurs païens de la nature qui avaient un grand nombre de dieux, incluant le soleil qui, croyaient-ils, réglementait leur travail et leurs périodes de repos. Ils croyaient qu’il entretenait la Terre en conservait la beauté et faisait croître leurs récoltes.

L’immortalité de l’âme était une des croyances des anciens Celtes, ce qui explique peut-être les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.

Les Celtes célébraient leur nouvelle année, le 1er Novembre, qui marquait la fin de la récolte et de l’été, la saison du soleil, et du début de l’hiver, froid et sombre qui arrivait, la saison du froid et de la noirceur.

Du 31 octobre jusqu’au 2 novembre, les Celtes célébraient un festival d’une durée de quarante-huit heures, la vigile de Samhain, on prononce, « Sô-Inne ». Ils croyaient que Samhain, le dieu païen des morts, rassemblait les âmes de ceux qui étaient morts pendant la dernière année et décidait quelle forme ils prendraient l’année suivante. Ces âmes pouvaient aussi bien avoir un corps humain, ou être condamnées à vivre dans la peau des animaux, les âmes ou les esprits les plus méchants prenant la forme de chats. En espérant tromper Samhain et lui faire donner des sentences plus légères, les adorateurs Celtes essayaient de le soudoyer en offrant des prières et des cadeaux.

L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit : « Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. » Samhain fut un important précurseur de l’Halloween.

La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir emmagasiné les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençaient leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leur maison. Puis les Druides, les prêtres Celtes, se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient les chênes comme sacrés, et préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur « Dieu Soleil ». Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale.

Pendant le premier siècle avant et après l’EC., l’Empire romain envahit l’Irlande et les îles Britanniques, conquérant ainsi la majorité du territoire Celte. Les Romains dominèrent sur eux pendant des centaines d’années, influençant les coutumes et traditions Celtes et Anglo-Saxonnes. Pendant cette période, il y eut deux festivals romains qui se fusionnèrent au festival celte de Samhain — Feralia et Pomona. Il y a plusieurs villes américaines qui portent le nom païen de Pomona, endossant ainsi sans le savoir ce jour.

Feralia, qui était célébré le 21 février, était le jour romain destiné à honorer les morts, mais n’était en fait qu’un jour de beuverie et d’orgies populaires, un peu semblable aux autres fêtes romaines.

Le jour de Pomona, célébré le 1er novembre, l’était en l’honneur de Pomona, la déesse romaine des fruits, des arbres et de la fertilité. Son symbole sacré était la pomme.

Pendant les trois siècles suivants, les coutumes de Samhain se mélangèrent avec celles de Pomona et de Feralia. C’est-à-dire jusqu’à ce qu’ils fussent « blanchis » et « lavés » par un autre pouvoir religieux.

Pendant ce temps en Palestine un homme du nom de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, de Nazareth, faisait parler beaucoup de lui et était réputé pour être un grand Prophète dont l’enseignement se résumait en cette phrase : « Aimez votre prochain comme vous vous aimez ! Ne fait pas à ton prochain ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse ou encore ne parle pas de la paille qui est dans l’œil de ton prochain quand tu ne vois pas la poutre qui est dans le tien »

De cet homme naîtra, quelques siècles après sa mort, une religion le « Christianisme. »

Le « Christianisme » étant devenu officiellement religion d’État en 381 au Concile de Constantinople sous l’Empereur Romain Théodose 1er --- 347-395 --- l’Église grecque décide de fêter les « Saints », tous les chrétiens martyrs, mort pour leur foi en les déclarants « Saints », après les Apôtres et les premiers Disciples de Disciples.

Nous sommes à la fin du IVème siècle.

Anecdote

« « En 394, l’Empereur Romain Théodose 1er fut l’auteur du décret interdisant les Jeux olympiques accusés de diffuser le paganisme --- Les jeux ne seront rétablis que 1502 ans plus tard en Grèce ---. » » 

Cette fête de la « Toussaint » a longtemps eu lieu après les Pâques ou suite à la Pentecôte. Au Vème siècle, elle est célébrée en Syrie le vendredi de Pâques[]. A Rome, une fête en l'honneur des saints et martyrs était célébrée le dimanche après la Pentecôte[].

 

Revenons à des faits authentiques, confirmés par les historiens !

Voici d'abord l'histoire de la consécration du Panthéon Temple des « Dieux » romains

Les Romains devenus maîtres de tout le Bassin Méditerranéen, de l’Europe Occidental et d’une partie de l’Asie, avaient construit un Temple énorme dans Rome, au milieu duquel ils avaient placé leur idole Mithra, Dieu de la lumière, et tout à l'entour étaient les idoles de toutes les provinces conquises la face tournée vers l'idole des Romains dont la naissance était fêtée le 25 décembre.

Mais bientôt ce Temple ne suffit plus aux Romains, qui construisirent pour chaque Dieu un Temple particulier. Comme tous les Dieux ne pouvaient pas avoir un Temple à eux dans la ville, les Romains, pour mieux étaler leur foi, construisirent en l'honneur de tous les Dieux un Temple plus admirable encore que tous les autres, qu’ils nommèrent « Panthéon ».

Pour tromper le peuple, les prêtres des petits temples contèrent que la déesse Cybèle, qui était la mère de tous les dieux, leur était apparue. Cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux, ses fils, un Temple magnifique. Ce Temple fut donc construit sur une base circulaire, pour symboliser l'éternité des dieux.

Le Panthéon de Rome fut un édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, construit en -27 de J-C. au début du règne d’Auguste ( -63-+14 de J-C.) sur l'ordre d'Agrippa. Endommagé par plusieurs incendies, le Temple fut entièrement reconstruit en 123-125 d’ EC sous Hadrien. Le plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans l’architecture romaine.

Pour vous expliquer l’importance de ce Temple voici ce qu’un écrivain Français contemporain dit :

« « J’étais remonté pour la structure même de l’édifice aux temps primitifs et fabuleux de Rome, aux temples ronds de l’Étrurie antique. J’avais voulu que ce sanctuaire de tous les Dieux reproduisît la forme du globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se renferment toutes les semences du feu éternel, de la sphère creuse qui contient tout[]. C’était aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus anciens foyers humains s’échappait par un orifice situé au faîte. La coupole, construite d’une lave dure et légère, qui semblait participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire. Les heures tournaient en rond sur ces caissons soigneusement polis par les artisans grecs ; le disque du jour y resterait suspendu comme un bouclier d’or ; la pluie formerait sur le pavement une flaque pure ; la prière s’échapperait comme une fumée vers ce vide où nous mettons les dieux. » » --- Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien ---

Suite aux persécutions contre les païens sous Théodose 1er, le Panthéon fut fermé et tombât à l’abandon.

Le temple abritait de nombreuses statues, dont celles d’Arès, qui est la planète Mars, père de Romulus, celle d’Aphrodite, qui est la planète Venus, divinité ancestrale de la gens Iulia, une gens est un groupe familial patrilinéaire portant le même nom descendant par les mâles d’un ancêtre commun, donc ici la descendance est les Iulii vieille famille de la Rome antique dont la descendance serait le Troyen Iule, ainsi que celle du divin Jules César. L’entrée était gardée de part et d’autre par les statues d’Auguste et d’Agrippa, tous les deux consuls en 27 av. J.-C., ce qui respectait, en apparence, la parité républicaine des pouvoirs et confirmait l’ascension d’Agrippa comme héritier potentiel d’Auguste

Alors, l’Église chrétienne sous l’Évêque de Rome Grégoire IV décida, avec l’appui du gouvernement de Flavius Honorius, de « blanchir » la fête romaine de Feralia du 21 février, fête des morts, et celle de Lémuria du 9 au 13 mai fête des Lémures, qui sont des spectres malfaisants.

Le mot « Évêque » est la transcription française du mot latin episcopus, lui-même adapté du grec episkopos qui veut dire « surveillant », c'est-à-dire modérateur, tuteur, responsable d'une organisation.

Avant le christianisme, le terme « Évêque » était utilisé pour désigner toutes sortes d'administrateurs dans les domaines civils, financiers, militaires, judiciaires.

Le terme « Évêque » à son origine désignait dans la Secte des Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens, de Jésus de Nazareth, de Jésus le Nazaréen, un « Surveillant » un « Presbytre », qui signifie « Ancien », un « Parangon » un « Enseignant ».

L’évêque était le « Pasteur », celui qui prenait attention à son troupeau et qui agrandissait celui-ci.

Le terme « Évêque » veut bien dire ce qu’il veut dire !

La secte de « Jésus de Nazareth » ou plus couramment des « Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens » que l’on nommera christianisme se détériore. En effet des humains se sont aperçut que l’on pouvait devenir important et riche. On commence à établir une hiérarchie pyramidale. Il y aura conflit entre le titre Évêque et Presbytre et le premier l’emportera. L’Évêque devient important, ce n’est plus un « Pasteur », humble, généreux, c’est un « Noble » un « Roi »

Là, il y a quand même matière à réflexion !

Pour vous « Chrétien », je vais faire un peu de science religieuse, mais cette science est la vôtre, celle de votre religion ---- et qui confirme tout ce que j’écris sur votre idolâtrie.

Mais combien parmi-vous sont dans l’ignorance ?

Alors, j’écris afin que vous dessilliez votre esprit !

Vous êtes responsable de vous !

Le jour de votre « Grand Sommeil », après un long voyage, pour vous rendre directement au Tribunal Céleste, vous ne pourrez pas dire : « Je ne savais pas ! »

« « --Les saints inscrits au martyrologe romain sont ceux pour lesquels l'Église déclare être sûre qu'ils sont au Paradis. Ils font donc l'objet d'un culte public dit culte de dulie lequel s'oppose au culte de lâtrie qui n'est dû qu'à Dieu.

Comment des humains aussi imparfaits peuvent-ils déclarés de telle certitude, puisqu’ils ne sont pas « Dieu », EL-SHADDAÏ ?

Dans le cas de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, une exception est admise, qui se nomme hyperdulie

Le culte de dulie est, pour l'Église, le culte réservé aux « Saints », aux « Anges » par opposition au culte de lâtrie, « réservé à Dieu », et au culte d'hyperdulie, réservé à la Vierge Marie

La lâtrie est un terme utilisé dans la théologie chrétienne, et plus particulièrement catholique, pour signifier l'adoration, forme la plus haute de l'adoration, due exclusivement à la Sainte Trinité.

Vous remarquerez qu’il est écrit « Sainte Trinité », alors que plus haut il est écrit « réservé à Dieu ».

Tout ce que j’écris, sont des textes de l’Encyclopédie Catholique Romaine.

Et ceci est écrit de telle sorte que l’Être Suprême, que la chrétienté nomme « DIEU », soit, comment dirai-je, incorporé à la Sainte Trinité qui représente trois « Dieux », le Père, le Fils, l’Esprit-Saint, contredisant l’unicité de celui que je nomme EL-SHADDAÏ, plutôt que ce nom vulgaire de « DIEU »

Le culte d'hyperdulie qui signifie servitude ou serviteur, est le culte rendu à la Vierge Marie, supérieur au simple culte rendu aux Saints et aux Anges. Ce terme est à distinguer de celui d'adoration ou latrie qui ne convient que pour Dieu.

Pour les théologiens catholiques, la différence entre le culte de dulie et de latrie n'est pas une différence de degré, mais de nature : il y a autant de différence entre les deux, qu'entre Dieu et sa créature. Il doit aussi y avoir des degrés dans le culte de dulie : le culte du Saint lui-même est plus important que le culte d'une relique, par exemple. C'est ce qu'on appelle la dulie absolue et la dulie relative.

Le culte de dulie revêt deux formes :

La vénération : témoignage du respect dû à un Saint.

L'invocation : demande d'intercession en vue d'obtenir un avantage particulier.-- » »

Je tiens bien à vous faire remarquer qu’il n’y a rien de biblique, mais le plus grave pour vous, « Chrétien », c’est que ces textes font force de Lois dans le christianisme. De plus ces Lois chrétiennes confirment bien l’IDOLÂTRIE de cette religion puisque, il est bien écrit que « le culte du « Saints » est plus important que le culte d’une relique »

En écrivant ces textes pour vous, j’ai le cœur et l’esprit triste, car plus de trois milliards de mes semblables vont à l’errement ou à une mort spirituelle certaine. Pourquoi sont-ils sur la Terre alors qu’il ne restera plus rien d’eux ?

Et vous mes semblables qui me lisez, allez-vous enfin ouvrir les yeux et les oreilles de votre cœur ?

La vérité des textes ci-dessus est tellement évidente, alors, allez-vous continuer volontairement à suivre ce chemin de votre perte spirituelle ?

Ces écrits ci-dessus sont des Lois du Vatican, écrits par ces Cardinaux et Évêques et confirmé par le PAPE qui se dit représentant « Dieu » sur la Terre alors qu’EL-SHADDAÏ a horreur de l’idolâtrie. --- voir tous les textes bibliques ---

Encore une confirmation, voilà pourquoi je suis triste car j’aime mes semblables !

Vous constaterez que ce Temple, le Panthéon fut vidé de toutes les idoles de la religion païenne romaine, mais que celles-ci furent remplacées par des statues représentant des martyrs déclarés « Saint ».

Dites-moi où est la différence entre une statue représentant le Dieu Mithra, nommé « idole » et une ronde-bosse qui incarne un humain décédé mais que l’on appelle « Saint » ?

Il n’y a aucune différence car d’un côté ou d’un autre vous priez de la matière, donc c’est de l’idolâtrie, seul le terme change, mais quel terme ! …! …! L’une est une « idole » l’autre est un « Saint » alors que toutes les deux sont statues et destructibles.

J’appelle ceci de l’hypocrisie !

Mais il y en a beaucoup parmi vous chrétiens, qui vont me prouver que ce n’est pas la même chose ! …

Je suis peut-être un « Païen », mais sûrement pas un niais, et pour moi peu importe la figurine, de la pierre reste de la pierre ! …

La base des croyants se rattachent à des souvenirs, alors ils vont à la quête des reliques, ossements, vêtements, objets, etc ..., des Apôtres et Disciples de la première heure et commencent à les vénérer 

Nous sommes maintenant à la fin du IIème, début du IIIème siècle. Tous ceux qui ont connu les premiers Nazôréens, les disciples des Disciples de Jésus, sont tous décédés ou à un âge avancé. Les enseignements de Jésus de Nazareth sont bien loin. L’enseignement des humains commence à faire office de paroles sacrées.

La fête de la « Toussaint » n’existe pas encore.

L’évêque des prémices, c’est-à-dire l’enseignant, le gardien, le surveillant du « troupeau » n’est plus, maintenant c’est l’ÉVÊQUE, le Chef, le Noble, le Roi, celui qui s’enrichie avec l’argent des pauvres. Le « Diacre »





Fêtes Chrétienne, l'Assomption

14/08/2019 16:09

Fêtes Chrétienne, l'Assomption


Fêtes de toute la Chrétienté

 

La chrétienté a un nombre incalculable de fêtes pour ses « Saints » qui change de nom chaque année, car on en arrive à avoir des saints du nom de « Mohamed », « Lydia », « Abdoulh », etc, mais cette chrétienté à aussi un calendrier de fêtes fixes inventées par « Eux » comme celle ci-dessous.

Fête du 15 Août où les fidèles prient une statue représentant la Vierge Marie.

 

L’ASSOMPTION

 

Qu’est-ce que « l’Assomption » ?

Quelle est son origine ?

C’est une fête « Chrétienne » !

De toute la chrétienté, catholique, orthodoxe et protestante !

Aucun texte biblique ne mentionne « une élévation de Marie » nommée « Assomption » par les « Catholiques », ni une « Dormition » nommée par les « Orthodoxes ».

Au IVème siècle, Épiphane de Salamine souligne que nul ne sait ce qu'il est advenu de Marie à la fin de sa vie. La tradition à ce sujet n'est pas attestée avant le Vème siècle.

Une tradition d’un manuscrit syriaque rapporte que la mort et l'Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen a lieu à Éphèse, dans la maison connue aujourd'hui comme la « Maison de la Vierge Marie », accompagnée de l'apôtre Jean, à qui le Christ, sur la croix, avait confié Marie.

Le fait est qu’il est à peu près certain que la Mère de Jésus le Nazaréen, Marie est décédé à Éphèse en présence de l’Apôtre Jean et que son corps ne goûta pas l’odeur de la terre et fut enlevé comme beaucoup : exemple Hénoch, Élie, Esdras, Baruch et tous ceux que j’oublie.

Reconnaissons que l’Apôtre Jean fait un silence de plomb sur la mort de Marie et de son « Élévation » aux Cieux.

Au VIème siècle, l'empereur byzantin Maurice instaure dans son empire, la fête de la «  Dormition de la Vierge Marie » chaque année à la date du 15 août.

En occident, le Concile de Mayence, en 813 instaure à son tour la fête du 15 août sous le nom de fête de l'Assomption de la Vierge Marie.

La gué-guerre commence !

Le terme « Assomption » provient du verbe latin assumere, qui signifie « prendre », « enlever ».

L'Assomption de Marie est un dogme de l'Église catholique romaine --- {Dans son sens propre, le mot « dogme » -- [ mot attesté en 1580, issu du latin ecclésiastique dogma, lui-même du grec [dogma], « opinion »] -- appartient au vocabulaire philosophique et religieux. Il est d'origine philosophique puis devient religieux avec le christianisme.

Un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique ou religieuse qui emploiera dans certains cas la force pour l'imposer. Historiquement, le dogme a été une formulation de foi, utilisé lorsque le critère de conformité à celle-ci, devait être utilisé par le pouvoir judiciaire, lorsque le pouvoir temporel sanctionnait pénalement les déviations par rapport à l'orthodoxie.} --- selon lequel, au terme de sa vie terrestre, la mère de Jésus aurait été « élevée au ciel »

Pour le moment rien n’est biblique, tout a été décrété par les humains.

Nous sommes bien dans un contexte d’idolâtrie.

Continuons pour savoir !

Le mot dormition -- en grec kimisis -- est usité, dans le vocabulaire chrétien pour désigner la mort des saints et des fidèles pieux, quand ce n'est pas une mort violente.

Il existe de très nombreux textes de la Dormition ou l’Assomption de Marie, mère de Jésus le Nazaréen, connus sous le titre générique de « Transitus Mariae » relatant des faits après sa mort.

On connaît, en effet, de multiples recensions de ces écrits en syriaque, grec, copte, arabe, éthiopien, latin, géorgien, arménien et slave.

Comme rien n’est dit au sujet de la fin de Marie dans le Nouveau Testament, l’influence de ces écrits a été d’autant plus considérable dans les Églises chrétiennes catholiques en Occident et orthodoxe en Orient.

Les manuscrits les plus connus et les plus anciens sur l’Assomption ou Dormition de Marie viennent d’un Pseudo-Jean écrit en grec et un Pseudo-Jacques écrit en syriaque. Il semblerait que l’écrit grec serait l’original et le plus ancien d’après les spécialistes en étude biblique. { Clavis apocryphorum Novi Testamenti, Bibliothéca hagiographica greca --- Étude historico-doctrinale, Vatican 1944, p.121 }

Il y a très peu de différence entre le texte grec et syriaque. L’original grec aurait été écrit dans le courant du Vème siècle.

Comme je l’ai écrit ci-dessus la « Dormition de Marie » est le plus vieux manuscrit d’un ensemble de textes apocryphes, appelés collectivement le « Transitus Mariae » daté généralement du Vème siècle. Cet ensemble de textes connus explicitement par l’Évêque de Rome ( pape ) Gélase Ier furent, en 495-496, déclarés apocryphes, comme étant « à ne pas retenir » par celui-ci. Ce jugement portait sur la compilation et non sur la croyance qu’elle détenait en elle-même.

Vous constatez qu’il n’y a toujours rien de biblique !

Continuons les faits historiques !

Je n’invente rien !

En effet, il est bon de connaître un peu d’histoire sur ce christianisme et sur ces fêtes religieuses.

En 451 à lieu le quatrième Concile œcuménique en la Basilique de Sainte Euphémie à Chalcédoine, aujourd’hui Kadiköy, un quartier chic asiatique d’Istanbul sur la rive occidentale.

Convoqué par l’empereur byzantin Marcien et son épouse l’impératrice Pulchérie le 8 octobre 451, 343 évêques, un record, dont 4 viennent d’Occident, redéfinissent la notion de personne :

a) comme le principe de différenciation relationnelle au sein du mystère d’un Dieu à la fois un et trine. (--- c’est-à-dire une Trinité ---)

b) comme le principe d’unité et d’identité, dans le cas des deux natures, dans la personne unique du Christ.

Pour la Vierge Marie, ce Concile décrète qu’elle sera désormais appelée « Mère de Dieu » ou « Théotokos ».

Toujours à ce Concile, l’évêque de Rome, Léon le Grand, refusera d’accepter le vingt-huitième Canon du Concile qui, en attribuant à la ville de Constantinople -- Istanbul -- le titre de « Nouvelle Rome », lui accordait de ce fait la primauté sur les autres patriarcats.

Par ce Concile nous voyons que la chrétienté se dessine une « Trilogie » c’est-à-dire « Un en Trois ».

Ce n’est plus du monothéisme !

Mais aussi le commencement de la séparation de la chrétienté en deux Églises qui se feront la guerre. Même de nos jours ces deux clans chrétiens s’acceptent difficilement.

Les enseignements de Jésus le Nazôréen, -- votre Jésus-Christ -- de ses Apôtres et Disciples sont bien loin ainsi que ce onzième commandement qui est aux oubliettes.

Vous remarquerez que ces humains décrètent que Marie sera appelée « Mère de Dieu », alors que la Bible dit bien qu’il n’existe qu’un seul et unique « Dieu ».

Aucune décision prise n’est biblique !

Se n’est pas fini car il y a encore plus fort ! …

Le terme « immaculée » signifie pure et sans tache.

L’Immaculée Conception de Marie est un dogme de l’Église catholique, défini le 8 décembre 1854 par le Pape Pie IX dans sa bulle « Ineffabilis Deus »

[ -- Une « bulle », que l’on appelle pontificale ou papale, est un document originel scellé par un sceau, par lequel le Pape pose un acte juridique important, une nomination épiscopale, une définition dogmatique, la convocation d’un Concile, une canonisation, etc. Le document relève du gouvernement pastoral de l’Église, et présente un intérêt pour l’ensemble des fidèles.

A l’origine, le terme désigne le sceau de métal, en plomb ou en or, attaché à un document pour l’authentifier. La chancellerie papale commence au VIème siècle à authentifier ses documents d’un sceau de plomb, -- la bulla -- pour les ordinaires, d’un sceau -- une bulla -- en or ou argent pour les plus importants.

A partir du XIIIème siècle les documents qui portaient ce sceau furent eux-mêmes nommés bulles. Depuis le XVème siècle le terme est réservé aux lettres apostoliques scellées du sceau de plomb.--]

Le dogme signifie que Marie, mère de Jésus le Nazaréen, -- Jésus-Christ pour vous chrétien -- fut conçue exempte du « péché originel »

La bulle déclare :

« Nous déclarons, prononçons et définissons que la doctrine, qui tient que la bienheureuse Vierge Marie a été, au premier instant de sa conception par une grâce et une faveur singulière du Dieu tout-puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel, est une doctrine révélée de Dieu, et qu’ainsi elle doit être cru fermement, et constamment par tous les fidèles. »

Depuis 1477 par décision du Pape Sixte IV, la naissance supposée de Marie se fête un 8 décembre ; c’est l’Immaculée Conception. Cette fête fut confirmée par Clément XI en 1708. Elle est à l’origine de la « Fête des Lumières » célébrée chaque année à Lyon à cette date.

Voyons la réalité ! Il est impératif que Marie, la femme qui façonnera l’être humain qui sera appelé de son vivant « Jésus le Nazôréen », « Jésus de Nazareth », « Jésus fils du Charpentier » soit parfaite de corps, c’est-à-dire sans la tare génétique d’Adam et Ève.

Le Protévangile de Jacques qui fut écrit à la fin du règne d’Hérode Antipas en Palestine dans cette période trouble où complot, trahison, était monnaie courante, d’où la destitution de ce dernier avec l’aide de son successeur, Hérode Agrippa Ier, auprès de l’Empereur Romain Caligula, qui pour finir l’exilera en Gaulle.

Joachim et Anne après vingt ans de vie commune n’avaient toujours pas de postérité et pourtant ils étaient fidèles devant EL-SHADDAÏ. Ils jurèrent devant ce dernier que si, ils avaient une postérité garçon ou fille cet enfant serait dédié à EL-SHADDAÏ.

Protévangile de Jacques VII : 2-3 à VIII : 1

« 2. L'enfant eut trois ans. Joachim dit :

« Appelons les filles des Hébreux, celles qui sont sans tache. Que chacune prenne un flambeau et le tienne allumé : ainsi, Marie ne se retournera pas et son cœur ne sera pas retenu captif hors du temple du Seigneur. »

L'ordre fut suivi, et elles montèrent au temple d’EL-SHADDAÏ. Et le prêtre accueillit l'enfant et l'ayant embrassée, il la bénit et dit :

« Le Seigneur Dieu a exalté ton nom parmi toutes les générations. En toi, au dernier des jours, El-Shaddaï manifestera la rédemption aux fils d'Israël. »

3. Et il la fit asseoir sur le troisième degré de l'autel. Et EL-SHADDAÏ répandit sa grâce sur elle. Et ses pieds esquissèrent une danse et toute la maison d'Israël l'aima.

8.1. Ses parents descendirent, émerveillés, louant et glorifiant EL-SHADDAÏ souverain qui ne les avait pas dédaignés. Et Marie demeurait dans le temple du Seigneur, telle une colombe, et elle recevait sa nourriture de la main d'un ange. »

Par la bénédiction d’EL-SHADDAÏ sur les marches de l’autel, Marie était purifiée de la tare adamique et avait maintenant un corps parfait. Voici la suite

Protévangile de Jacques VIII : 2-3 à IX : 1-3

« 2. Quand elle eut quatorze ans, les prêtres se consultèrent et dirent :

« Voici que Marie a quatorze ans, dans le temple d’El-Shaddaï. Que ferons-nous d'elle, pour éviter qu'elle ne rende impur le sanctuaire du Seigneur notre Dieu ? »

Et ils dirent au grand-prêtre :

« Toi qui gardes l'autel d’EL-SHADDAÏ, entre et prie au sujet de cette enfant. Ce que le Seigneur te dira, nous le ferons. »

3. Et le prêtre revêtit l'habit aux douze clochettes pénétra dans le Saint des Saints et se mit en prière. Et voici qu'un ange d’El-Shaddaï apparut, disant :

« Zacharie, Zacharie, sors et convoque les veufs du peuple. Qu'ils apportent chacun une baguette. Et celui à qui El-Shaddaï montrera un signe en fera sa femme. »

Des hérauts s'égaillèrent dans tout le pays de Judée et la trompette du Seigneur retentit, et voici qu'ils accoururent tous.

9.1. Joseph jeta sa hache et lui aussi alla se joindre à la troupe. Ils se rendirent ensemble chez le prêtre avec leurs baguettes. Le prêtre prit ces baguettes, pénétra dans le temple et pria. Sa prière achevée, il reprit les baguettes, sortit et les leur rendit. Aucune ne portait de signe. Or Joseph reçut la sienne le dernier. Et voici qu'une colombe s'envola de sa baguette et vint se percher sur sa tête. Alors le prêtre :

« Joseph, Joseph, dit-il, tu es l'élu : c'est toi qui prendras en garde la vierge d’EL-SHADDAÏ. »

2. Mais Joseph protesta :

« J'ai des fils, je suis un vieillard et elle est une toute jeune fille. Ne vais-je pas devenir la risée des fils d'Israël ? »

« Joseph, répondit le prêtre, crains le Seigneur ton Dieu, et souviens-toi du sort qu’EL-SHADDAÏ a réservé à Dathan, Abiron et Corê. La terre s'entrouvrit et les engloutit tous à la fois, parce qu'ils lui avaient résisté. Et maintenant, Joseph, crains de semblables fléaux sur ta maison ! »

3. Très ému, Joseph prit la jeune fille sous sa protection et lui dit :

« Marie, le temple d’El-Shaddaï t'a confiée à moi. Maintenant je te laisse en ma maison. Car je pars construire mes bâtiments. Je reviendrai auprès de toi. EL-SHADDAÏ te gardera. » »

Dans ce texte nous trouvons un Joseph charpentier comme un homme étant connu et ayant du travail. Ce n’est pas ce miséreux de l’iconographie biblique qui a du mal à nourrir sa famille, dans ce Protévangile de Jacques c’est absolument le contraire et personnellement j’opterai pour cette seconde solution.

Toujours avec ce Protévangile, Marie ne fut pas couverte par un « Esprit-Saint » quelconque.

Protévangile de Jacques XI : 3

« 3. Et voici que l'ange, toujours devant elle, lui répondit :

« Non, Marie. Car la puissance d’EL-SHADDAÏ te prendra sous son ombre. Aussi l’enfant qui naîtra sera-t-il appelé le fils du Très-Haut. Tu lui donneras le nom de Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. »

Et Marie dit alors :

« Me voici devant lui sa servante ! Qu'il m'advienne selon ta parole. » »

Il est bien question de la puissance d’EL-SHADDAÏ qui posera le spermatozoïde dans l’ovule féminin. Tout est « SAIN », la fécondation, le corps féminin, il ne peut naître qu’un enfant « SAIN » et non comme la chrétienté « Saint », car là tout est propre, pur, cristallin, limpide, sans tache.

Il est prouvé que la vie de Marie fut exemplaire et qu’elle fut une grande prophétesse pour son fils unique et qu’elle n’a jamais eu d’autre enfant que celui-là, donc sans beaucoup me tromper elle resta vierge toute sa vie.

Je ne comprendrai jamais cette hypocrisie littéraire de la part des historiens et exégètes qui connaissent parfaitement les Lois du judaïsme et qui les mettent en premiers pour expliquer la vie religieuse des hébreux et qui la réfutent avec « les frères et sœurs » de Jésus-Christ, Jésus le Nazôréen pour moi. En effet se sont les enfants males d’une famille qui donnent le statut à leur mère. Alors Jésus le Nazôréen étant un « hébreu, juif pour la langue française » qui est venu « non pour abolir la Loi mais pour l’accomplir complètement », je vois mal cet homme là, cloué sur le « Tau » de la torture romaine, confier sa mère au Disciple qu’il aimait le plus, c’est-à-dire Jean, s’il avait eu des « frères selon la chair ». Il est quand même écœurant que personne sur « Wikipédia » n’est soulevé « un lièvre aussi gros ».

Cela nous donne la certitude que Jésus le Nazôréen n’a jamais, j’écris bien jamais, eu de frères et encore moins de sœurs tout au plus des cousins germains et encore, mais sûrement des cousins par alliance ou comme l’on dit en degré.

L'Immaculée Conception n'est mentionnée dans aucun texte jugé canonique par les Églises chrétiennes.

Après la naissance revenons à la mort de Marie.

Ce que j’écris est malheureusement la vérité et l’histoire de cette religion.

Le 1er novembre 1950 l'Assomption de Marie est établie sous forme de dogme par la constitution apostolique « Munificentissimus Deus » du pape Pie XII.

« En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité, nous prononçons, déclarons, et définissons comme un dogme divinement révélé que l'Immaculée Mère de Dieu, la Vierge Marie, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme à la gloire céleste »

— Constitution dogmatique Munificentissimus Deus, b. 44.

Par la suite, la constitution dogmatique « Lumen gentium du Concile Vatican II de 1964 » a énoncé :

« Enfin, la Vierge Immaculée, préservée de toute tache de la faute originelle, au terme de sa vie terrestre, fut élevée à la gloire du ciel en son âme et en son corps et elle fut exaltée par le Seigneur comme Reine de l'univers afin de ressembler plus parfaitement à son Fils, Seigneur des seigneurs et vainqueur du péché et de la mort. »

— Constitution dogmatique Lumen Gentium sur l'Eglise, b. 59

Depuis la déclaration d’infaillibilité pontificale par Vatican I en 1870, cette déclaration de Pie XII constitue la seule utilisation de l'infaillibilité papale « ex cathedra »

Je viens de vous exposer les textes des plus hauts dirigeant de la chrétienté, Évêque ou Pape.

Comme moi, vous remarquerez qu’il n’existe rien de biblique dans cette fête religieuse de l’Assomption ou Dormition. Toute cette histoire est une invention pure et simple d’êtres humains imparfaits.

Pour prendre Jésus le Nazaréen à témoin avec Apôtre et Disciple, -- «  En l'autorité de notre Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux Apôtres Pierre et Paul, et par notre propre autorité … » il faut avoir un certain sens moral mauvais, mais surtout une vanité et un orgueil inimaginable. Le blasphème ne dérange pas ces humains là !

Aller écrire que Marie est « la Mère de Dieu », connaissant les « Écritures », il faut être un bon « Serviteur de Sammaël », -- Satan -- et railler l’Ancien Testament avec une certaine insolence.

Quand je pense, que se sont ces humains qui dirigent cette Religion, que je suis heureux de l’avoir quitté et être considéré par ses fidèles comme un « Païen ».

Remarquez la fourberie des « Dirigeants » de cette « Église » qui en font une religion hypocrite. Ce n’est pas une insulte de dire et d’écrire une réalité !

En effet, en déclarant au Concile de Chalcédoine en 451, que Marie est la « Mère de Dieu », puis en 1854 qu’elle est « Immaculée », en suite en 1950 qu’elle est « Immaculée et Mère de Dieu », ces Évêques et Papes, placent Jésus-Christ --- Jésus le Nazôréen pour moi --- comme un « Dieu » égal à son Père.

Je ne suis pas un imbécile et je sais compter, donc « Dieu le Père » plus « Dieu le Fils » cela fait deux « Dieux », Marie étant la « Mère de Dieu, du Dieu Jésus-Christ ».

Je suis certain qu’un grand nombre de chrétiens vont réfuter ces écrits, faisant l’autruche, ce qui est une facilité pour ne pas voire volontairement la vérité.

Je suis bien obligé, par amour pour mes semblables, de leur faire remarquer que cette religion chrétienne est une religion idolâtre, et que, les Enseignements de Jésus le Nazôréen ne font plus recettes dans cette religion.

Cet interlude terminé, je reprends le cours de mes écrits.

En attendant portez-vous bien et prenez soin de vous.

Salutations cordiales.

Sig : JP.G. dit « Grand-Loup » ou « GRANDELOUPO »

 






La Pâque, chap. N°2 - La Fête de notre libération

17/04/2019 17:21

La Pâque, chap. N°2 - La Fête de notre libération


La Pâque, la fête de notre libération

 

 

Chapitre N°2

 

 

Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâques en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient l'agneau au temple puis le mangeaient en famille.

Jésus-Christ étant juif, il est logique de penser que tous les ans avec sa famille, il allait en pèlerinage à Jérusalem. N’est-ce pas à cette époque, que, à l’âge de douze ans, il lisait sur les rouleaux le livre d’Isaïe devant le Sanhédrin au Temple ?
Les Pâques chrétiennes

Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.

Il marque la fin du jeûne du « Carême. » 

Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.

Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert. (Matthieu IV : 1-11) Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année. 

On appelle aussi le carême la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques. 

La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.

C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en l’an 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.

Parenthèse, je n’ai pas pu résister.

Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :

Canon 60 décrété au Concile de Laodicée

« Canon 60

Liste les Écritures retenues par l'Église, notamment les quatre Évangiles canoniques constituant le Nouveau Testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.

À ce Concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :

« Le concile de Laodicée, tenu en l’an 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »

Comique … non ? …

Au VIIème siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel. 

Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en l’an 325.

Les rédacteurs des Évangiles ont toujours été influencés par l'Ancien Testament. A la Pâque juive s'est substituée la célébration de la Cène, le dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, la veille de son arrestation.

Les jours qui ont précédé la Pâque et la mort de Jésus, ni Jésus, ni ses disciples n'ont jeûné.

 Les récits des Évangiles indiquent qu’à Béthanie, seulement quelques jours avant sa mort, ses disciples et lui se sont rendus chez des gens, où ils ont pris des repas. Jésus a en outre mangé le repas de la Pâque la nuit précédant sa mort.

Matthieu XXVI : 6-7 

« Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table. »

Jean XII : 1-3

« Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux, et la maison s'emplit de la senteur du parfum. »

Vous constaterez que les écrits de Matthieu et de Jean sont très différents. Le lieu du repas n’est pas le même, le parfum est différent, ainsi que les convives. De plus le parfum est versé pour l’un sur la tête, pour l’autre sur les pieds

Alors qui dit vrai ? …

La Marie qui oint les pieds de Jésus, qui-est-ce ? …

Quelle Marie ? …La « Femme », quelle femme ? …

Pour des écrits « Inspirés » de « Dieu » que de trouble ?

Voici la vérité

Jamais, je dis bien, jamais, la Bible incite à faire un jeûne de quarante jours avant la Pâque

Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique

Il n’y a aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que le Christ, les apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de carême. Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazôréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.

En instituant, le « Carême », avec le « Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont profondément ancrées dans le paganisme ancien. Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive

. Je cite l’Encyclopédie catholique de 1917

« …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»

À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde du Disciple Saül de Tarse nommé Paul qu’il écrivit à Timothée.

II Tim III : 13-17

« Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.

Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les --saines-- saintes Lettres. Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen -- Christ Jésus -- ou -- Jésus-Christ--

Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »

Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?

Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »

Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques

Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »

« La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux IIIème et IVème siècle, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujour­d'hui dans l'Église Romaine.

 On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en sou­venir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »

Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est  « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâquejamais Pâques ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.

« Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême. »

 « Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Vème siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'obser­vation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » ( Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30 ).  

« D'où venait donc cette observation ?

Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne.

II en était de même en Égypte. » ( Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278

« Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, ( vol. I, p. 112.) était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur. 

Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »

Socrate de Constantinople (380-450), l'historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.

« Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).

Je reprends les écrits.

« A la fin, lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, -- la primauté, la supériorité -- on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou quarante jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un Concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennelle­ment observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.)

 Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys-le-Petit. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. »

Nous sommes au VIème siècle, et les enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes. Ce qui compte le plus pour l’Église Chrétienne, c’est d’avoir un pouvoir politique qui lui donnerait richesses et autorité absolue. Pour ce faire l’Église doit faire des concessions avec les coutumes et croyances païennes.

De plus, en rapport avec les écrits ci-dessus, il ne faut pas oublier que le christianisme est la religion de l’Empire Romain, par déduction une religion d’État, donc une religion politique.

La Pâque réellement est une commémoration d’une délivrance. Depuis des siècles nous sommes les esclaves du péché et de la « Mort », car même aujourd’hui où je vous écris, nous sommes sous l’emprise du Roi de cette Terre, de ses environs et de son Firmament, car pour le moment EL-SHADDAÏ lui laisse une certaine liberté d’action et c’est SAMMAËL qui gouverne la Terre, Jésus le Nazôréen n’ayant pas encore reçu son investiture terrestre.

Ce Dieu seul et unique laisse l’humain libre de ses actions, mais pose des restrictions sur le nucléaire, car comme il l’a promis plus jamais il ne détruira les « Vivants » de la Terre par un Déluge, donc pour nettoyer le nucléaire il n’y a que l’eau et beaucoup d’eau, voilà pourquoi la Terre est restée plus de neuf mois sous l’eau, et voilà pourquoi il empêche la folie humaine  de continuer à se servir de cette arme de destruction massive car soixante quinze ans après que l’humain ait fait l’essai nucléaire beaucoup meurent encore à cause de cette cochonnerie.

Jésus le Nazôréen est mort par la torture romaine de la crucifixion.

La torture n’était pas réellement nécessaire, mais il fallait marquer l’Esprit de l’humain, comme une « marque au fer rouge » afin que celui-ci n’oublie pas. Jésus le Nazôréen parfait dans sa mort de corps humain rendait l’équivalence d’Adam qui avait été posé sur la Terre parfait et par une seule interdiction transgressée, la mort est entrée sur la terre de la Terre.

Maintenant il fallait qu’EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique prouvant à la Terre entière des humains que la « mort » était vaincue et que maintenant eux aussi pouvaient ressusciter par la volonté de l’Être Suprême.

Question, vers qu’elle heure Jésus le Nazôréen a-t-il été ressuscité ?

Si l’on suit les écriture évangéliques Jésus le Nazôréen serait décédé le jour des « Préparation » c’est-à-dire la veille du jour du Sabbat qui est le Samedi chez les Hébreux. De plus une journée commence d’un coucher de soleil au coucher de soleil suivant, donc Jésus est mort vers la dix-huitième heure de la journée de « Préparation ».

Le jour suivant le Sabbat, vers la dixième heure, c’est-à-dire à l’aube, des femmes vont au tombeau et la pierre a été roulée et le tombeau est vide, donc nous ignorons quand Jésus le Nazôréen a ressuscité ! … !

La religion chrétienne dit que leur Jésus-Christ a été ressuscité le troisième jour c’est vrai et faux en même temps, car Jésus le Nazôréen a ressuscité environ trente-six heures après sa mort, qui est aussi le troisième jour, mais pas de vingt-quatre heures, le premier jour étant celui des Préparation et le troisième, le lendemain du Sabbat qui commence après le coucher du soleil.

 EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique dans les heures matinales du troisième jour, vers troisième ou quatrième heure du matin mais avant l’aurore.

Là, me vient en esprit beaucoup de question, car Jésus le Nazôréen à manger sa dernière Pâque avec tous ses Apôtres et leur famille, donc il est décédé un jour de fête ? Livre Biblique des Nombres XXIII : 5-7, « Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au crépuscule, c'est Pâque pour EL-SHADDAÏ, et le quinzième jour de ce mois, c'est la fête des Azymes pour EL-SHADDAÏ. Pendant sept jours vous mangerez des pains sans levain. Le premier jour il y aura pour vous une sainte assemblée ; vous ne ferez aucune œuvre servile. »  Le quatorzième jour au soir après la nouvelle Lune de l’Équinoxe de Printemps, c’est la fête de la Pâque pour EL-SHADDAÏ, donc pour nous aussi ses « Enfants », mais le lendemain pour les Hébreux, soit le quinzième jour c’est la première journée de la fête des « Pains sans Levain ou des Pains Azymes » et cette première journée est un jour de fête où il est interdit de travailler, donc le quatorzième jour, jour de Pâque, est le jour des « Préparations »

N’oublions pas que la journée hébraïque, le terme juif me déplais, commence le soir après le coucher du soleil, donc la Pâque commence au début du quatorzième jour.

Jésus le Nazôréen est arrêté dans la nuit de ce quatorzième jour, alors question, est-ce possible que tous ces événements se soit passé en seulement douze heures ? Surtout que c’est une journée de « Préparation » ? La Bible dans les Évangiles synoptiques, comme c’était un jour de fête Ponce Pilate demanda à la foule des hébreux de choisir entre Barabbas et Jésus, et là, il y a encore confusion entre les trois évangiles synoptiques et l’évangile de Jean, car d’un côté tout ce passe entre le début du jour de Pâque, le jour des Pains Azymes et le jour suivant, et selon Jean cela se serai passé juste deux jours avant Pâque, alors qui croire ?

Une chose est certaine, en faisant la chronologie des événements : Jésus fête la Pâque en famille le jour de Pâque, théoriquement il est interdit de sortir d’une maison avant le lever du jour, a moins que depuis douze siècles la Loi de Moïse ait changé un peu, donc Jésus sort et va prier un certain temps au Mont des Oliviers, qui est situé à l’est de Jérusalem, environ vingt minutes de marche. Les Apôtres qui l’accompagne, s’endorment par trois fois ; Jésus est arrêté et présenté à Anne, puis à Caïphe, il est emmené une première fois devant Ponce Pilate, puis devant Hérode, puis devant le Sanhédrin, puis encore une fois devant Pilate, puis vient le temps de la torture et des cinquante coups de fouet et je peux vous dire que cela dure beaucoup plus qu’une heure, alors tout cela à l’époque où l’on se déplace à pied prend du temps beaucoup de temps, donc le jugement de Jésus le Nazôréen c’est fait sur trois jours, car en plus, les jours de fête juives, il était interdit de crucifier où autre mis à mort ou torture.

Je vous laisse lire et chercher, mais je reviendrai certainement, si je suis encore vivant sur cette terre, l’année prochaine pour la Pâque ou en cours d’année selon mes écrits.

Jésus le Nazôréen, le soir de Pâque, entre les deux soirs, au moment du repas, change le rituel du sacrifice pascal. A la Pâque les hébreux égorgeaient l’animal et avec le sang, le

« Grand-Prêtre » badigeonnait les linteaux du Temple pour la rémission des péchés, et aussi pour la protection du « Malin », maintenant en rendant grâce au repas de Pâque nous enduisons avec le vin notre intérieur spirituel pour nous laver de nos péchés, mais aussi nous transformer en « décapant » notre esprit du mal, car nous sommes responsables de nous-mêmes, et le pain sans levain, comme le pain nourri notre propre corps nous devons nourrir notre esprit sainement.

Marie, la mère de Jésus le Nazôréen, à l’âge de trois ans, son sang fut nettoyé de la tare Adamique, car en effet, si le spermatozoïde était parfait, il fallait obligatoirement que le corps dans lequel allait se développer l’enfant soit parfait, car l’on sait aujourd’hui que dans le ventriculaire féminin l’enfant se développe par le sang pour la génétique égalitaire du père et de la mère de cinquante pourcent, donc si l’un est parfait et l’autre imparfait l’enfant qui naîtra sera imparfait et l’équivalence avec Adam devient impossible.

Voilà pourquoi il était impératif que le sang de Marie soit lavé de cette tare du péché originaire d’Adam. Il s’ensuit que l’enfant qui sortirait de cette matrice serait parfait. Dans le Nouveau Testament il n’est pas parlé de la perfection de Marie, à part l’évangéliste Luc qui lui consacre une ligne en tout et pour tout, mais par contre, l’apocryphe « Protévangile de Jacques », livre qui était énormément lu aux deux premiers siècles, est très explicatif sur la naissance de Marie, ainsi que la bénédiction d’EL-SHADDAÏ, sur les marches du Temple interdit aux profanes, car lieu réservé à la prêtrise pour les offices journaliers dû à cet Être Suprême, et là encore cent à deux-cents témoins virent ce qu’EL-SHADDAÏ était capable de faire sur la terre de la Terre quand il choisit un humain pour ses desseins ! …

Ce Livre le « Protévangile de Jacques » faisait partie du Canon Biblique jusqu’au troisième siècle, et au Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC, quand Eusèbe de Césarée avec Alexandre le Grand choisir arbitrairement les « Livres » du « Nouveau Testament » c’est comme cela que furent évincés certains « Écrits » gênant pour l’époque tel que l’Apocalypse de Jean, Protévangile de Jacques, le premier Évangile de Mathieu, dit « Évangile des Hébreux », Évangile de Thomas, etc. ….

Jésus le Nazôréen vécut quarante ans sur la terre de la Terre dans la prière et la perfection, car malgré les « Écrits » diffamatoires qu’il y a eu sur sa vie, cet humain est resté parfait en tout. Il connaissait très bien la femme, mais il n’a jamais connu de femme, car il ne pouvait pas se souiller avec un humain, puisqu’il était au régime des Anges. Deux questions me restent à l’esprit, j’aurai aimé connaître l’ADN du sang de Jésus le Nazôréen, ainsi que celui de sa mère Marie, qui n’a jamais connu d’homme. Nous savons, qu’elle est devenue, après la mort de son fils, une grande Prêtresse connue dans tout le Moyen-Orient et particulièrement à Chypre, Antioche et Éphèse où elle décéda, chez l’Apôtre Jean, mais fait étrange personne n’a retrouvé son corps et selon certains Écrits apocryphes son corps n’aurait pas goûté l’odeur de la terre, enlevé par des Anges, les témoins de la scène étant peu nombreux. Le seul qui aurait pu écrire sur Marie c’est Jean, mais voilà, le silence absolu, pourquoi ? …

EL-SHADDAÏ, trois jours après la crucifixion de son Fils engendré, une première fois dans les Cieux, puis une seconde fois dans le ventre de Marie, sa mère terrestre, avait l’équivalence avec Adam déposé parfait sur la Terre. Son Fils décédé sur la croix entre quinze et seize heures lapses de temps où la terre trembla et où le soleil ne brilla plus sur le Moyen-Orient, la Palestine, et l’Égypte, prouvant aux humains lointains qu’un fait surnaturel important s’était produit chez les Hébreux, car en Palestine et aux alentours le ciel gronda avec des éclairs sans nuage, l’atmosphère régnant vous glaçait les veines.

EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils de la Mort, qui devient le « Grand Guerrier » vainqueur de la Mort, mais ce Dieu fait bien les choses puisqu’il ressuscite dans le même temps plus de cinq-cents « Justes » et les tombes se sont ouvertes dans toute la Galilée et la Judée, Jérusalem compris. Beaucoup de ces ressuscités ont été vus par leur famille, leurs amis, et des quidams qui les connaissaient physiquement avant qu’ils ne montent aux Cieux,  et les témoignages sont innombrables, alors il n’y a pas sept à huit-cents menteurs.

Vendredi 19 Avril, après le coucher du soleil soit en France où dans des pays autres les villes sur le même parallèle comme Roubaix, Paris, Toulouse fêteront la Pâque vers 20h 45mn, tandis que Annemasse et La Rochelle sont à la même latitude et ces humains fêteront la Pâque pour la première cité à 20h 27mn et la seconde à 20h 56mn tout cela à cinq minutes près. Ce diner de la Pâque doit être accompli entre les « Deux Soirs » c’est-à-dire entre le coucher du soleil et la nuit noire profonde

Ce repas rappellera les gestes de Jésus le Nazôréen, et le chef de famille fera les mêmes geste avec un pain sans levain que son épouse où lui-même aura confectionné, la lame du couteau ne touchera pas ce pain qui sera rompu, et avant il fera une prière pour remercier Celui qui est au-dessus de notre tête, le Père à Jésus qui est son Dieu et notre Dieu (Jean XX : 17), puis le chef de famille fera de même avec un verre de bon vin et il demandera la rémission de nos péchés à cet Être Suprême et nous remercieront, chacun en son cœur le sacrifice qu’à fait ce père en offrant son propre fils, comme l’agneau va à l’abattoir,  dans les mains sanguinaires des humains, eux qui par haine incompréhensible, lui crachèrent au visage, et EL-SHADDAÏ avait déjà dit : « Celui  qui crache à la face de l’homme, crache sur ma face ! » Pardonnez-moi je ne me souviens plus des références, mais je les rechercherai !

EL-SHADDAÏ considérait que l’action de manger devait être un plaisir, le moment de se réunir, de se parler, de rire, de chanter, mais aussi de penser à Lui, et il a inventer le vin pour le plaisir du palais, mais aussi pour la joie, Siracide ou Ecclésiastique XXXI : 27-28,

« Le vin c'est la vie pour l'homme, quand on en boit modérément. Quelle vie mène-t-on privé de vin ? Il a été créé pour la joie des hommes. Gaîté du cœur et joie de l'âme, voilà le vin qu'on boit quand il faut et à sa suffisance. », et quand je vous écrit que la Bible est un livre enseignement et pas d’interdit et la suite de ce chapitre est assez intéressante pour l’humain, toujours Siracide XXXI : 29-30, « Amertume de l'âme, voilà le vin qu'on boit avec excès, par passion et par défi. L'ivresse excite la fureur de l'insensé pour sa perte, elle diminue sa force et provoque les coups. », et comme vous venez de le lire la Bible n’interdit pas, elle vous prévient, vous conseille et vous laisse le choix avec votre conscience.

Ce repas de Pâque doit être une fête comme chaque année, mais toujours avec chacun sa suffisance, sans excès, car par la crucifixion de Jésus le Nazôréen, fils engendré d’EL-SHADDAÏ qui fut par la volonté de son Père, ressuscité de la transgression Adamique qui amena la mort de l’humain sur la terre de la Terre, nous offrant à nous humains, de sortir de la terre, pour vivre sur celle-ci, avec Jésus le Nazôréen comme Roi de la Terre, dans la joie, la paix, le bonheur car Sammaël et les Siens auront été enfermés pour un « Temps », moins de mille ans.

Sur ce thème aussi je reviendrai !

Mangez une viande  où l’os n’aura pas été brisé, mais aussi sans os, surtout pas de porc ni de sanglier ce soir-là, un pain sans levain, 100gr se farine, un peu de sel de l’eau, 10% de beurre, et vous pétrissez tout cela jusqu’à que vous ayez un boule de pâte qui ne colle pas aux doigt, si vous le désirez ajoutez un œuf ou deux, ne laissez pas reposé pour éviter la fermentation même légère, étaler votre pâte d’un seul tenant ou faites des petites boules de pâtes que vous étaler cela vous fera des petites galettes, le four le plus chaud possible soit thermostat 9 ou 230C° et vous enfournez, 10 à 15  minutes pas trop longtemps pour éviter que ce pain soit dur pour les dents et trop vite de manière à que la pâtes soit cuite.

Bonne Pâque !

Je réitère Vendredi 19 Avril, entre les deux soirs soit entre 20h 30mn, ou 21h 15mn juqu’à la nuit noire profonde soit 23h30mn, mais





La Pâque, chap. N°2 - La Fête de notre libération

17/04/2019 17:21

La Pâque, chap. N°2 - La Fête de notre libération


La Pâque, la fête de notre libération

 

 

Chapitre N°2

 

 

Nombreux étaient les juifs qui allaient célébrer Pâques en pèlerinage à Jérusalem. Ils sacrifiaient l'agneau au temple puis le mangeaient en famille.

Jésus-Christ étant juif, il est logique de penser que tous les ans avec sa famille, il allait en pèlerinage à Jérusalem. N’est-ce pas à cette époque, que, à l’âge de douze ans, il lisait sur les rouleaux le livre d’Isaïe devant le Sanhédrin au Temple ?
Les Pâques chrétiennes

Pâques (ou dimanche de Pâques) est une fête religieuse chrétienne qui commémore la résurrection de Jésus-Christ, le troisième jour après sa mort par la torture romaine de la crucifixion. C'est le jour le plus saint du calendrier chrétien.

Il marque la fin du jeûne du « Carême. » 

Le nom carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ». Il s'agit naturellement d'une référence au jour de Pâques, qui termine le carême.

Le carême est une période de jeûne de quarante jours que l'Église a instituée en référence aux quarante jours de jeûne effectués par Jésus-Christ dans le désert. (Matthieu IV : 1-11) Le Carême est la période de préparation à la fête de Pâques qui est, dans le calendrier chrétien, la plus grande fête de l'année. 

On appelle aussi le carême la Sainte Quarantaine. La durée de quarante jours commémore à la fois les quarante jours et quarante nuits du jeûne de Moïse avant la remise des Tables de la Loi et les quarante jours de la tentation du Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique, lors desquels il fut tenté par Satan, d'après les Évangiles synoptiques. 

La pratique du carême remonte au IVème siècle de notre ère.

C'est durant le Concile de Laodicée qui se situe en Phrygie, Asie Mineure, en l’an 360 que fut prescrite la « xérophagie » c'est-à-dire l'usage exclusif du pain et des fruits secs pendant le temps qui correspondait au carême. Le concile de Laodicée ordonna officiellement l’observance du carême.

Parenthèse, je n’ai pas pu résister.

Les livres du Nouveau Testament sont d’inspiration Divine, alors juste pour le plaisir :

Canon 60 décrété au Concile de Laodicée

« Canon 60

Liste les Écritures retenues par l'Église, notamment les quatre Évangiles canoniques constituant le Nouveau Testament, rejetant ainsi les autres textes dans la catégorie des Apocryphes.

À ce Concile, l'Apocalypse de Saint Jean était lui aussi exclu des livres canoniques ce que ne manque pas de relever Voltaire :

« Le concile de Laodicée, tenu en l’an 364, ne compta point l’Apocalypse parmi les livres canoniques. Il était bien singulier que Laodicée, qui était une Église à qui l’Apocalypse était adressée, rejetât un trésor destiné pour elle; et que l’évêque d’Éphèse, qui assistait au concile, rejetât aussi ce livre de saint Jean enterré dans Éphèse. »

Comique … non ? …

Au VIIème siècle, le carême fut établi dans son calendrier actuel. 

Le jour de Pâques a été fixé lors du concile de Nicée (aujourd'hui İznik, en Turquie), en l’an 325.

Les rédacteurs des Évangiles ont toujours été influencés par l'Ancien Testament. A la Pâque juive s'est substituée la célébration de la Cène, le dernier repas que Jésus partage avec ses disciples, la veille de son arrestation.

Les jours qui ont précédé la Pâque et la mort de Jésus, ni Jésus, ni ses disciples n'ont jeûné.

 Les récits des Évangiles indiquent qu’à Béthanie, seulement quelques jours avant sa mort, ses disciples et lui se sont rendus chez des gens, où ils ont pris des repas. Jésus a en outre mangé le repas de la Pâque la nuit précédant sa mort.

Matthieu XXVI : 6-7 

« Comme Jésus se trouvait à Béthanie, chez Simon le lépreux, une femme s'approcha de lui, avec un flacon d'albâtre contenant un parfum très précieux, et elle le versa sur sa tête, tandis qu'il était à table. »

Jean XII : 1-3

« Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie, où était Lazare, que Jésus avait ressuscité d'entre les morts.

On lui fit là un repas. Marthe servait. Lazare était l'un des convives.

Alors Marie, prenant une livre d'un parfum de nard pur, de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux, et la maison s'emplit de la senteur du parfum. »

Vous constaterez que les écrits de Matthieu et de Jean sont très différents. Le lieu du repas n’est pas le même, le parfum est différent, ainsi que les convives. De plus le parfum est versé pour l’un sur la tête, pour l’autre sur les pieds

Alors qui dit vrai ? …

La Marie qui oint les pieds de Jésus, qui-est-ce ? …

Quelle Marie ? …La « Femme », quelle femme ? …

Pour des écrits « Inspirés » de « Dieu » que de trouble ?

Voici la vérité

Jamais, je dis bien, jamais, la Bible incite à faire un jeûne de quarante jours avant la Pâque

Alors pourquoi l’Église Chrétienne a institué le « Carême » qui ait une action non biblique

Il n’y a aucun écrit biblique ou historique qui mentionne que le Christ, les apôtres ou l’Église primitive aient participé à une période de carême. Les fêtes de la Pâque et des Pains sans Levain étaient observées par Jésus le Nazôréen, les Apôtres et Disciples de la première heure, et par la suite par les Églises primitives, y compris les païens qui en faisaient partie.

En instituant, le « Carême », avec le « Vendredi Saint » et « Les Pâques » l’Église Chrétienne se fourvoie car ce sont des célébrations qui sont profondément ancrées dans le paganisme ancien. Elles ont été instituées par le christianisme traditionnel pour remplacer la saison de la Pâque juive

. Je cite l’Encyclopédie catholique de 1917

« …//…Le principal but du carême est, par-dessus tout, de préparer les gens à la célébration de la mort et de la résurrection du Christ …//… Meilleure est la préparation, meilleure sera la célébration. On ne peut réellement revivre le mystère qu’avec un esprit et un cœur purifié. Le but du carême est de fournir cette purification en détachant l’homme du péché et de l’égoïsme par l’abnégation et la prière tout en suscitant en lui le désir d’accomplir la volonté de Dieu et de faire en sorte que Son royaume vienne d’abord dans le cœur de chacun.»

À première vue, cette croyance semble sincère. Toutefois, elle n’est pas en accord avec ce que dit la Bible. Une mise en garde du Disciple Saül de Tarse nommé Paul qu’il écrivit à Timothée.

II Tim III : 13-17

« Quant aux pécheurs et aux charlatans, ils feront toujours plus de progrès dans le mal, à la fois trompeurs et trompés.

Pour toi, tiens-toi à ce que tu as appris et dont tu as acquis la certitude. Tu sais de quels maîtres tu la tiens, et c'est depuis ton plus jeune âge que tu connais les --saines-- saintes Lettres. Elles sont à même de te procurer la sagesse qui conduit au salut par la foi dans Jésus le Nazôréen -- Christ Jésus -- ou -- Jésus-Christ--

Toute Écriture est inspirée d’EL-SHADDAÏ et utile pour enseigner, réfuter, redresser, former à la justice. Ainsi l'homme d’EL-SHADDAÏ se trouve-t-il accompli, équipé pour toute œuvre bonne. »

Étant donné qu’il n’existe aucune instruction biblique ordonnant d’observer le carême, quelle est donc son origine ?

Voyons les faits historiques et comment la religion chrétienne est devenue la plus grande religion « Païenne » en servant le « Maître de la Terre Sammaël qui porte les noms de Baal, Moloch, Mastéma, Béliar, Satan, Lucifer, et familièrement Diable. »

Le nom « Pâques » avec un « s » en terminaison a une origine Chaldéenne et n’est pas autre chose que la traduction du nom « Astarté », l’un des titres de Beltis, la « Reine des Cieux », des Ninivites. Le mot « Pâques » se prononçait « Easter », mot usité dans la langue anglaise pour Pâques

Ci-dessous des textes du livre de Alexander Histops, « Les Deux Babylone »

« La fête dont nous parle l'histoire de l'Église sous le nom de « Pâques » aux IIIème et IVème siècle, était une fête toute différente de celle qu'on observe aujour­d'hui dans l'Église Romaine.

 On l'appelait Pascha ou « La Pâque », et bien qu'elle ne fût pas une institution apostolique, elle était observée de fort bonne heure par bien des chrétiens déclarés en sou­venir de la mort et de la résurrection du Christ. Cette fête s'accordait à l'origine avec l'époque de la Pâque juive où le Christ fut sacrifié. Vers la fin du IIème siècle, du temps de Tertullien, on croyait que c'était le 23 mars. »

Le mot grec qui a été traduit par « Pâque(s) » est  « pascha » qui provient du mot hébreu pessa’h. Il n’existe aucun mot grec pour le mot « Pâque » et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâquejamais Pâques ! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec.

« Cette fête n'était nullement une fête idolâtre, et n'était précédée d'aucun carême. »

 « Il faut savoir, dit le moine Johannes Cassianus de Marseille, écrivant au Vème siècle et comparant l'Église primitive avec celle de son époque, que l'obser­vation des 40 jours n'existait pas, aussi longtemps que la pureté de cette église demeura intacte. » ( Première Conférence de l’Abbé Théonas, chap. 30 ).  

« D'où venait donc cette observation ?

Les 40 jours de jeûne du carême étaient directement empruntés aux adorateurs de la déesse Babylonienne.

II en était de même en Égypte. » ( Wilkinson, Antiquités Égyptiennes, vol. I, p. 278

« Ce jeûne égyptien de 40 jours, nous dit Landseer dans ses recherches Sabéennes, ( vol. I, p. 112.) était expressément pratiqué en souvenir d'Adonis ou Osiris, le grand Dieu médiateur. 

Chez les païens, ce jeûne paraît avoir été le préliminaire indispensable de la grande fête annuelle célébrée en souvenir de la mort et de la résurrection de Tammuz, par des larmes, puis par des réjouissances. »

Socrate de Constantinople (380-450), l'historien ecclésiastique de l'antiquité, après un long récit des diverses manières dont Pâques était observée de son temps, au Vème siècle se résume ainsi.

« Nous en avons déjà assez écrit, nous semble-t-il, pour prouver que la fête de Pâques commença partout à être célébrée bien plus par habitude que par suite d'un commandement de Christ ou des apôtres. » (Hist. ecclés., liv. V, ch. 22).

Je reprends les écrits.

« A la fin, lorsque le culte d'Astarté gagna la prépondérance, -- la primauté, la supériorité -- on prit des mesures pour faire observer le jeûne Chaldéen de six semaines ou quarante jours dans tout l'empire romain d'Occident. La voie fut préparée par un Concile tenu à Aurélia à l'époque de Hormisdas évêque de Rome, vers l'année 519, qui décréta que le carême serait solennelle­ment observé avant Pâques. (Dr. Meredith Hanmers, Chronographie, jointe à sa traduction d'Eusèbe, p. 592. Londres, 1636.)

 Ce fut certainement avec l'intention de faire exécuter ce décret que le calendrier fut peu d'années après modifié par Denys-le-Petit. Mais il ne pouvait pas être observé d'un seul coup. »

Nous sommes au VIème siècle, et les enseignements de Jésus le Nazaréen sont dans les oubliettes. Ce qui compte le plus pour l’Église Chrétienne, c’est d’avoir un pouvoir politique qui lui donnerait richesses et autorité absolue. Pour ce faire l’Église doit faire des concessions avec les coutumes et croyances païennes.

De plus, en rapport avec les écrits ci-dessus, il ne faut pas oublier que le christianisme est la religion de l’Empire Romain, par déduction une religion d’État, donc une religion politique.

La Pâque réellement est une commémoration d’une délivrance. Depuis des siècles nous sommes les esclaves du péché et de la « Mort », car même aujourd’hui où je vous écris, nous sommes sous l’emprise du Roi de cette Terre, de ses environs et de son Firmament, car pour le moment EL-SHADDAÏ lui laisse une certaine liberté d’action et c’est SAMMAËL qui gouverne la Terre, Jésus le Nazôréen n’ayant pas encore reçu son investiture terrestre.

Ce Dieu seul et unique laisse l’humain libre de ses actions, mais pose des restrictions sur le nucléaire, car comme il l’a promis plus jamais il ne détruira les « Vivants » de la Terre par un Déluge, donc pour nettoyer le nucléaire il n’y a que l’eau et beaucoup d’eau, voilà pourquoi la Terre est restée plus de neuf mois sous l’eau, et voilà pourquoi il empêche la folie humaine  de continuer à se servir de cette arme de destruction massive car soixante quinze ans après que l’humain ait fait l’essai nucléaire beaucoup meurent encore à cause de cette cochonnerie.

Jésus le Nazôréen est mort par la torture romaine de la crucifixion.

La torture n’était pas réellement nécessaire, mais il fallait marquer l’Esprit de l’humain, comme une « marque au fer rouge » afin que celui-ci n’oublie pas. Jésus le Nazôréen parfait dans sa mort de corps humain rendait l’équivalence d’Adam qui avait été posé sur la Terre parfait et par une seule interdiction transgressée, la mort est entrée sur la terre de la Terre.

Maintenant il fallait qu’EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique prouvant à la Terre entière des humains que la « mort » était vaincue et que maintenant eux aussi pouvaient ressusciter par la volonté de l’Être Suprême.

Question, vers qu’elle heure Jésus le Nazôréen a-t-il été ressuscité ?

Si l’on suit les écriture évangéliques Jésus le Nazôréen serait décédé le jour des « Préparation » c’est-à-dire la veille du jour du Sabbat qui est le Samedi chez les Hébreux. De plus une journée commence d’un coucher de soleil au coucher de soleil suivant, donc Jésus est mort vers la dix-huitième heure de la journée de « Préparation ».

Le jour suivant le Sabbat, vers la dixième heure, c’est-à-dire à l’aube, des femmes vont au tombeau et la pierre a été roulée et le tombeau est vide, donc nous ignorons quand Jésus le Nazôréen a ressuscité ! … !

La religion chrétienne dit que leur Jésus-Christ a été ressuscité le troisième jour c’est vrai et faux en même temps, car Jésus le Nazôréen a ressuscité environ trente-six heures après sa mort, qui est aussi le troisième jour, mais pas de vingt-quatre heures, le premier jour étant celui des Préparation et le troisième, le lendemain du Sabbat qui commence après le coucher du soleil.

 EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils unique dans les heures matinales du troisième jour, vers troisième ou quatrième heure du matin mais avant l’aurore.

Là, me vient en esprit beaucoup de question, car Jésus le Nazôréen à manger sa dernière Pâque avec tous ses Apôtres et leur famille, donc il est décédé un jour de fête ? Livre Biblique des Nombres XXIII : 5-7, « Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au crépuscule, c'est Pâque pour EL-SHADDAÏ, et le quinzième jour de ce mois, c'est la fête des Azymes pour EL-SHADDAÏ. Pendant sept jours vous mangerez des pains sans levain. Le premier jour il y aura pour vous une sainte assemblée ; vous ne ferez aucune œuvre servile. »  Le quatorzième jour au soir après la nouvelle Lune de l’Équinoxe de Printemps, c’est la fête de la Pâque pour EL-SHADDAÏ, donc pour nous aussi ses « Enfants », mais le lendemain pour les Hébreux, soit le quinzième jour c’est la première journée de la fête des « Pains sans Levain ou des Pains Azymes » et cette première journée est un jour de fête où il est interdit de travailler, donc le quatorzième jour, jour de Pâque, est le jour des « Préparations »

N’oublions pas que la journée hébraïque, le terme juif me déplais, commence le soir après le coucher du soleil, donc la Pâque commence au début du quatorzième jour.

Jésus le Nazôréen est arrêté dans la nuit de ce quatorzième jour, alors question, est-ce possible que tous ces événements se soit passé en seulement douze heures ? Surtout que c’est une journée de « Préparation » ? La Bible dans les Évangiles synoptiques, comme c’était un jour de fête Ponce Pilate demanda à la foule des hébreux de choisir entre Barabbas et Jésus, et là, il y a encore confusion entre les trois évangiles synoptiques et l’évangile de Jean, car d’un côté tout ce passe entre le début du jour de Pâque, le jour des Pains Azymes et le jour suivant, et selon Jean cela se serai passé juste deux jours avant Pâque, alors qui croire ?

Une chose est certaine, en faisant la chronologie des événements : Jésus fête la Pâque en famille le jour de Pâque, théoriquement il est interdit de sortir d’une maison avant le lever du jour, a moins que depuis douze siècles la Loi de Moïse ait changé un peu, donc Jésus sort et va prier un certain temps au Mont des Oliviers, qui est situé à l’est de Jérusalem, environ vingt minutes de marche. Les Apôtres qui l’accompagne, s’endorment par trois fois ; Jésus est arrêté et présenté à Anne, puis à Caïphe, il est emmené une première fois devant Ponce Pilate, puis devant Hérode, puis devant le Sanhédrin, puis encore une fois devant Pilate, puis vient le temps de la torture et des cinquante coups de fouet et je peux vous dire que cela dure beaucoup plus qu’une heure, alors tout cela à l’époque où l’on se déplace à pied prend du temps beaucoup de temps, donc le jugement de Jésus le Nazôréen c’est fait sur trois jours, car en plus, les jours de fête juives, il était interdit de crucifier où autre mis à mort ou torture.

Je vous laisse lire et chercher, mais je reviendrai certainement, si je suis encore vivant sur cette terre, l’année prochaine pour la Pâque ou en cours d’année selon mes écrits.

Jésus le Nazôréen, le soir de Pâque, entre les deux soirs, au moment du repas, change le rituel du sacrifice pascal. A la Pâque les hébreux égorgeaient l’animal et avec le sang, le

« Grand-Prêtre » badigeonnait les linteaux du Temple pour la rémission des péchés, et aussi pour la protection du « Malin », maintenant en rendant grâce au repas de Pâque nous enduisons avec le vin notre intérieur spirituel pour nous laver de nos péchés, mais aussi nous transformer en « décapant » notre esprit du mal, car nous sommes responsables de nous-mêmes, et le pain sans levain, comme le pain nourri notre propre corps nous devons nourrir notre esprit sainement.

Marie, la mère de Jésus le Nazôréen, à l’âge de trois ans, son sang fut nettoyé de la tare Adamique, car en effet, si le spermatozoïde était parfait, il fallait obligatoirement que le corps dans lequel allait se développer l’enfant soit parfait, car l’on sait aujourd’hui que dans le ventriculaire féminin l’enfant se développe par le sang pour la génétique égalitaire du père et de la mère de cinquante pourcent, donc si l’un est parfait et l’autre imparfait l’enfant qui naîtra sera imparfait et l’équivalence avec Adam devient impossible.

Voilà pourquoi il était impératif que le sang de Marie soit lavé de cette tare du péché originaire d’Adam. Il s’ensuit que l’enfant qui sortirait de cette matrice serait parfait. Dans le Nouveau Testament il n’est pas parlé de la perfection de Marie, à part l’évangéliste Luc qui lui consacre une ligne en tout et pour tout, mais par contre, l’apocryphe « Protévangile de Jacques », livre qui était énormément lu aux deux premiers siècles, est très explicatif sur la naissance de Marie, ainsi que la bénédiction d’EL-SHADDAÏ, sur les marches du Temple interdit aux profanes, car lieu réservé à la prêtrise pour les offices journaliers dû à cet Être Suprême, et là encore cent à deux-cents témoins virent ce qu’EL-SHADDAÏ était capable de faire sur la terre de la Terre quand il choisit un humain pour ses desseins ! …

Ce Livre le « Protévangile de Jacques » faisait partie du Canon Biblique jusqu’au troisième siècle, et au Concile de Nicée en l’an 325 de l’EC, quand Eusèbe de Césarée avec Alexandre le Grand choisir arbitrairement les « Livres » du « Nouveau Testament » c’est comme cela que furent évincés certains « Écrits » gênant pour l’époque tel que l’Apocalypse de Jean, Protévangile de Jacques, le premier Évangile de Mathieu, dit « Évangile des Hébreux », Évangile de Thomas, etc. ….

Jésus le Nazôréen vécut quarante ans sur la terre de la Terre dans la prière et la perfection, car malgré les « Écrits » diffamatoires qu’il y a eu sur sa vie, cet humain est resté parfait en tout. Il connaissait très bien la femme, mais il n’a jamais connu de femme, car il ne pouvait pas se souiller avec un humain, puisqu’il était au régime des Anges. Deux questions me restent à l’esprit, j’aurai aimé connaître l’ADN du sang de Jésus le Nazôréen, ainsi que celui de sa mère Marie, qui n’a jamais connu d’homme. Nous savons, qu’elle est devenue, après la mort de son fils, une grande Prêtresse connue dans tout le Moyen-Orient et particulièrement à Chypre, Antioche et Éphèse où elle décéda, chez l’Apôtre Jean, mais fait étrange personne n’a retrouvé son corps et selon certains Écrits apocryphes son corps n’aurait pas goûté l’odeur de la terre, enlevé par des Anges, les témoins de la scène étant peu nombreux. Le seul qui aurait pu écrire sur Marie c’est Jean, mais voilà, le silence absolu, pourquoi ? …

EL-SHADDAÏ, trois jours après la crucifixion de son Fils engendré, une première fois dans les Cieux, puis une seconde fois dans le ventre de Marie, sa mère terrestre, avait l’équivalence avec Adam déposé parfait sur la Terre. Son Fils décédé sur la croix entre quinze et seize heures lapses de temps où la terre trembla et où le soleil ne brilla plus sur le Moyen-Orient, la Palestine, et l’Égypte, prouvant aux humains lointains qu’un fait surnaturel important s’était produit chez les Hébreux, car en Palestine et aux alentours le ciel gronda avec des éclairs sans nuage, l’atmosphère régnant vous glaçait les veines.

EL-SHADDAÏ ressuscite son Fils de la Mort, qui devient le « Grand Guerrier » vainqueur de la Mort, mais ce Dieu fait bien les choses puisqu’il ressuscite dans le même temps plus de cinq-cents « Justes » et les tombes se sont ouvertes dans toute la Galilée et la Judée, Jérusalem compris. Beaucoup de ces ressuscités ont été vus par leur famille, leurs amis, et des quidams qui les connaissaient physiquement avant qu’ils ne montent aux Cieux,  et les témoignages sont innombrables, alors il n’y a pas sept à huit-cents menteurs.

Vendredi 19 Avril, après le coucher du soleil soit en France où dans des pays autres les villes sur le même parallèle comme Roubaix, Paris, Toulouse fêteront la Pâque vers 20h 45mn, tandis que Annemasse et La Rochelle sont à la même latitude et ces humains fêteront la Pâque pour la première cité à 20h 27mn et la seconde à 20h 56mn tout cela à cinq minutes près. Ce diner de la Pâque doit être accompli entre les « Deux Soirs » c’est-à-dire entre le coucher du soleil et la nuit noire profonde

Ce repas rappellera les gestes de Jésus le Nazôréen, et le chef de famille fera les mêmes geste avec un pain sans levain que son épouse où lui-même aura confectionné, la lame du couteau ne touchera pas ce pain qui sera rompu, et avant il fera une prière pour remercier Celui qui est au-dessus de notre tête, le Père à Jésus qui est son Dieu et notre Dieu (Jean XX : 17), puis le chef de famille fera de même avec un verre de bon vin et il demandera la rémission de nos péchés à cet Être Suprême et nous remercieront, chacun en son cœur le sacrifice qu’à fait ce père en offrant son propre fils, comme l’agneau va à l’abattoir,  dans les mains sanguinaires des humains, eux qui par haine incompréhensible, lui crachèrent au visage, et EL-SHADDAÏ avait déjà dit : « Celui  qui crache à la face de l’homme, crache sur ma face ! » Pardonnez-moi je ne me souviens plus des références, mais je les rechercherai !

EL-SHADDAÏ considérait que l’action de manger devait être un plaisir, le moment de se réunir, de se parler, de rire, de chanter, mais aussi de penser à Lui, et il a inventer le vin pour le plaisir du palais, mais aussi pour la joie, Siracide ou Ecclésiastique XXXI : 27-28,

« Le vin c'est la vie pour l'homme, quand on en boit modérément. Quelle vie mène-t-on privé de vin ? Il a été créé pour la joie des hommes. Gaîté du cœur et joie de l'âme, voilà le vin qu'on boit quand il faut et à sa suffisance. », et quand je vous écrit que la Bible est un livre enseignement et pas d’interdit et la suite de ce chapitre est assez intéressante pour l’humain, toujours Siracide XXXI : 29-30, « Amertume de l'âme, voilà le vin qu'on boit avec excès, par passion et par défi. L'ivresse excite la fureur de l'insensé pour sa perte, elle diminue sa force et provoque les coups. », et comme vous venez de le lire la Bible n’interdit pas, elle vous prévient, vous conseille et vous laisse le choix avec votre conscience.

Ce repas de Pâque doit être une fête comme chaque année, mais toujours avec chacun sa suffisance, sans excès, car par la crucifixion de Jésus le Nazôréen, fils engendré d’EL-SHADDAÏ qui fut par la volonté de son Père, ressuscité de la transgression Adamique qui amena la mort de l’humain sur la terre de la Terre, nous offrant à nous humains, de sortir de la terre, pour vivre sur celle-ci, avec Jésus le Nazôréen comme Roi de la Terre, dans la joie, la paix, le bonheur car Sammaël et les Siens auront été enfermés pour un « Temps », moins de mille ans.

Sur ce thème aussi je reviendrai !

Mangez une viande  où l’os n’aura pas été brisé, mais aussi sans os, surtout pas de porc ni de sanglier ce soir-là, un pain sans levain, 100gr se farine, un peu de sel de l’eau, 10% de beurre, et vous pétrissez tout cela jusqu’à que vous ayez un boule de pâte qui ne colle pas aux doigt, si vous le désirez ajoutez un œuf ou deux, ne laissez pas reposé pour éviter la fermentation même légère, étaler votre pâte d’un seul tenant ou faites des petites boules de pâtes que vous étaler cela vous fera des petites galettes, le four le plus chaud possible soit thermostat 9 ou 230C° et vous enfournez, 10 à 15  minutes pas trop longtemps pour éviter que ce pain soit dur pour les dents et trop vite de manière à que la pâtes soit cuite.

Bonne Pâque !

Je réitère Vendredi 19 Avril, entre les deux soirs soit entre 20h 30mn, ou 21h 15mn juqu’à la nuit noire profonde soit 23h30mn, mais





La Pâque, chap. N°1 - Fête de notre libération

12/04/2019 18:23

La Pâque, chap. N°1 - Fête de notre libération


La Pâque, la fête de notre libération

 

Chapitre N°1

 

Nous allons bientôt être à la fête religieuse de la Pâque.

Nous disons la Pâque juive et les Pâques chrétiennes. La Pâque juive a influencé la célébration chrétienne, et elle n'a pas la même signification.

La Pâque juive commence le 15 Nissan ; ( le mois de Nissan est à cheval sur les mois de Mars et Avril du calendrier grégorien ) c'est le mois des épis et le premier mois de l'année, selon la Torah. Le calendrier juif est lunaire. Le mois commence avec la nouvelle lune. Le premier jour du mois de Nissan est celui de la première nouvelle lune autour de l'équinoxe de printemps. Le jour de Pâque est le jour de la pleine lune suivante.

Pour cette année 2019 l’équinoxe de printemps fut le 20 mars, le mois de Nissan, le premier mois de l’année du calendrier Hébreu, ayant eut son premier jour à la nouvelle lune (lune rousse) le 05 Avril, et la pleine lune le Vendredi 19 Avril, le coucher du soleil aura lieu en Haute Savoie à 20h 27, à Paris à 20h 48, à Rennes à 21h 02 et à Brest à 21h 14.

Donc la Pâque commence le 19 Avril après le coucher du soleil soit les horaires que je viens juste de vous poser avant selon votre région et le repas pascale doit se dérouler « entre les deux soirs », c’est-à-dire pendant le temps crépusculaire, période qui se situe entre le coucher du soleil et avant la noirceur complète de la nuit. ( voir l’Encyclopédie juive ) En règle générale la nuit noire est 2h, 2h 30mn après le coucher du soleil, mais toujours avant la fin d’une journée soit 24h

À l'origine, il existait deux fêtes pour célébrer le printemps.

Le « Hag Ha-Pessah » : fête de l'agneau pascal. C'est une fête pastorale dont l'origine remonte au temps où le peuple hébreu était un peuple de nomades. Nous pouvons remonter jusqu'à l’ère du père, Térakh, voir du grand-père, Nak-hor d’Abram dit Abraham.

 Le rite du sang avait une valeur importante. On prenait le sang de l'agneau pour oindre le pourtour des portes d'entrée de la tente ou de la cabane. C'était un rite de protection pour détourner les mauvais esprits et protéger ainsi la famille.

Le mot « pâque » désignait ainsi la fête et aussi l'animal que l'on sacrifiait et que l'on mangeait. ---pastorale, agneau --- Ce sacrifice était encore pratiqué au temps de Jésus mais ne l'est plus depuis la destruction du second temple de Jérusalem en 70 de J-C. ou EC (ère commune)

 Le « Hag Ha-Matsoth » : fête du « Pain sans levain », est une fête agricole célébrée par un peuple sédentaire au début de la moisson. Le « Pain sans levain » porte aussi le nom de pain azyme.

« La Pâque », de l’hébreu « pessa’h -- il passa par-dessus » d'où « passage », est le nom de la fête juive qui commémore la sortie d’Égypte. D'après les Évangiles, c'est pendant cette fête juive qu'eut lieu la résurrection de Jésus ; c'est pourquoi le nom a été repris pour désigner la fête chrétienne.

Selon la Bible, à l'époque des Pharaons, les Hébreux vivaient en esclavage en Égypte, mais ce joug n’est pas venu tout de suite, je reviendrai sur ce thème dans quelques lignes.

La fête de la Pâque date depuis les Lois Noachides, Lois qui furent donné à Noé après que l’Arche se fut posée sur les contreforts du mont Loubard dans la chaine de montagnes Ararat. Le sang était encore bon, mais de tous les humains qui restèrent dans l’Arche une grande partie de leur intelligence fut effacée ainsi que leur mémoire pour qu’ils ne reproduisent pas toutes les mauvaises inventions atomiques qu’ils avaient trouvé. Seules étaient restées en mémoire le nécessaire pour vivre dans l’Arche comme le système d’évacuation des eaux usées, l’électricité de réserve, mais le système de production fut effacé, comment avoir de l’eau potable, comment avoir du feu, mais tout le système d’armement fut aussi gommé, et ainsi de suite, EL-SHADDAÏ ne désirant pas que l’humain recommence, mais il a aussi retiré certains pouvoirs à SAMMAËL et aux SIENS les limitants sur les sentiments de convoitise, orgueil, vanité, jalousie, et beaucoup d’autres, mais il ne pouvait plus enseigner l’humain celui-ci maintenant devait s’arranger avec sa propre intelligence et découverte. Ce que je viens de vous écrire n’est pas de la fiction puisque maintenant sur toute la Terre nous trouvons des traces d’une guerre atomique – lointaine ? - , ainsi que des incendies gigantesques, monstrueux comme dans le Sahara, la Péninsule Arabique, le Désert du Nevada aux USA, ou celui de Gobi en Mongolie, ou à Mohenjo-Daro en Inde cité ou l’on a trouvé des tête humaines irradiées tout comme en Sibérie et en Australie. L’humain du Déluge, malgré une perfection encore importante, puisque les humains pouvaient s’accoupler entre frère et sœur sans que leur progéniture soit trisomique, avait fait un grand saut en arrière sur leurs découvertes et surtout dans le domaine de l’intelligence, de l’esprit.

Pour éviter d’être pris pour un affabulateur je vous conseille de faire des recherches sur Internet sur l’ère antédiluvienne, les découvertes dans les fonds marins, les squelettes retrouvés sur toute la Terre, le mélange de la génétique des animaux qui donnèrent des monstres, mais qui transformât aussi certaines espèces, etc, alors cherchez, lisez, comprenez !

Comme promis je reviens à l’assujettissement du peuple hébreu en Égypte

A l’époque des Hyksôs, Joseph le fils de Jacob est le « Grand Chambellan » de l’Égypte de cette époque. Un peu d’histoire par les dates, sachant qu’une erreur d’une cinquantaine d’année est sûrement possible, donc l’Exode Biblique eu lieu vers l’an 1240 avant l’EC ou J-C, sachant que Josué entra en Palestine en l’an 1234 -- 1200 av. l’EC, l’encyclopédie écrit : [ 1232 av. J.-C. : selon la Bible, les Hébreux, sous la conduite de Josué, arrivent sur les bords du Jourdain. Ils se heurtent aux Edomites, Moabites et Amorrites avant d'occuper la quasi-totalité du pays de Canaan.] et que l’Exode dura quarante ans, mais aussi que le peuple hébreu était en Égypte depuis 430 ans. Si l’on pense que Josué commença ses conquêtes en l’an -1232 av. J-C cela nous fait remonter à l’année où toute la tribu de Jacob vint s’installer en Égypte dans la province de « Goshen » soit entre l’an -1662 et -1630 av. EC. Jacob était âgé se cent-trente ans quand il vient s’établir en Égypte avec toute sa famille, soit soixante-dix adultes et il y vécut dix-sept ans avant de décédé à l’âge de cent-quarante-sept ans.

L’encyclopédie nous apprend : -1900-1800 av. J.-C. –

« Vers le dix-huitième siècle avant Jésus-Christ, - J-C., ou l’Ère Commune, - EC., un premier groupe de population sémite, ancêtre du peuple juif, nomade pastoral, nommé « Ceux qui Passent » originaire de Mésopotamie, s’installent au Nord de la Syrie dans la province de Canaan, pays où coule le lait et le miel. Selon l’histoire biblique, Abraham aurait migré de Ur vers Harân où habitait son père, puis aurait continué sa migration vers le pays de Canaan, la Palestine de nos jours, qui à l’époque était une grande région montagneuse et vallonée, riche et fertile. » Térah le père d’Abraham décède à Harân à l’âge de deux-cent-cinq ans, et Abraham, lui, a soixante-quinze ans

1710-1540 av. J.-C. : « Deuxième Période Intermédiaire Égyptienne. La Basse Égypte tombe aux mains des Hyksôs, originaires de Canaan. Ils introduisirent en Égypte l’arc composite, le cheval et le char » Je pense que le Pharaon de l’époque était Maâtibré qui signifie : « le cœur de Rê est juste » , grand chef de guerre Hyksôs, qui c’est déclaré roi de la basse Égypte ‘c’est-à-dire « Pharaon » et il gouverna environ quarante-quatre années, son successeur fut Mery-Ouse-Rê et sur des stèles retrouvées, l’encyclopédie : « Le nom sémitique « Jacob » apparaissant sous la forme « Yaqoub-her », la parenté directe comme indirecte entre ce nom et les Hyksôs est possible. », se sont les seules traces que nous avons du passage de Jacob en Égypte, et après ce Pharaon il y eu Apophis, Aâ-qen-en-Rê, qui régna un peu plus de quarante ans sur l’Égypte et fait partie des derniers souverains Hyksôs, mais c’est aussi sous son règne que Joseph fut momifié et gardé dans une tombe réservée aux nobles du pays.

J’ai cherché la vérité sur l’histoire de Joseph, mais malheureusement pour moi il n’existe pas beaucoup de trace et il y a cette erreur de date d’un demi-siècle, et pour que cela soit encore plus confus sur ce passage des Hyksôs en Égypte cela tombe pendant la « Deuxième Période Intermédiaire Égyptienne. », temps de deux siècles où nous ne connaissons pas grand-chose en dehors de quelques bribes éparses écrites sur des stèles.

Donc le peuple Hébreu s’est formé avec les douze fils de Jacob simplement que Ephraïm et Manassé les deux fils de Joseph forment une seule tribu et font partie de la noblesse égyptienne. Le premier siècle les Hébreux vivaient heureux dans la province du Goshen dans le Delta du Nil, terre fertile, et ils se multiplièrent, ainsi que le deuxième siècle. Ils vivaient sous la Loi Abrahamique qui était la suite des Lois Noachides, la circoncision, la Pâque, plus d’autres Lois de tenues générales comme épouser sa sœur qui devenait déconseillée. Grâce à leur hygiène de vie, la mortalité infantile était moindre chez eux que chez les indigènes.

La Pâque n’était pas une fête religieuse, mais la fête du renouveau de la nature, une fête plus pastorale qu’agraire, car il ne faut pas oublier qu’ils sont d’une descendance nomade, Abraham était un berger, on les nommait « Ceux qui Passent », et ils ne se feront appeler « Hébreu » que sous Jacob quand EL-SHADDAÏ lui donna le nom « Israël » qui signifie « Fort contre Dieu » ou « Volontaire contre Dieu »

Il est difficile d’établir une chronologie, puisque à un demi-siècle près nous ne connaissons pas l’invasion des Hyksôs, alors je vais essayer de mettre une supposition d’ordre, les Hyksôs ont envahi l’Égypte en l’an -1674 av. J-C. Joseph a vécu cent-dix ans et son père Jacob cent-quarante-sept ans, il est resté dix-sept ans en Égypte et il décéda. Admettons que ces Hyksôs sont en Égypte depuis dix ans soit l’an -1664 av. J-C.  Joseph à dix-sept ans quand il est vendu par ses frères et son père a l’âge de soixante-dix ans environ, donc nous sommes en l’an -1647 av. EC, et Joseph passe huit ans comme prisonnier avant de devenir « Grand Chambellan » en l’an -1639 av. J-C. Le premier roi Hyksôs connu qui gouverne en Égypte est Maâtibré qui signifie « cœur juste » et il règne dans ce pays pendant quarante-quatre ans environ soit jusqu’en -1620 av. EC et ce fut pendant son règne et celui de son successeur qu’il y a eu ces sept années d’abondance puis les sept années de disette, et ce Pharaon fut remplacé par Mery-Ouser-Rê qui régna pendant trente six ans (-1584__-1576) pour certains historiens et quarante-quatre ans pour d’autres, et son successeur fut Aâ-qen-en-Rê plus connu sous le nom « Apophis » qui régna quarante-cinq, quarante-six ans soit jusqu’en -1639 av. J-C. ce qui fait que Jacob décéda en l’an -1570 av. EC, et Joseph en l’an -1564 av. EC.

Les quatre siècles en terre étrangère ne vont pas avec les dates que je vous ai donné ci-dessus car il y a toujours ce demi-siècle dans un sens ou dans l’autre, en effet il paraitrait que l’exode est eu lieu en -1220 _ -1223 av. EC sous le Pharaon Ramsès II, ce qui fait que Jacob et ses fils entre en terre égyptienne en l’an -1650 av. EC., impossible ! … !

Pourquoi les auteurs de la Bible qui écrivent sous inspiration divine ne citent-ils pas le nom des Rois ou Pharaons de l’époque, pourquoi entretenir ce flou, si historiquement il y a des faits confirmant la Bible, il y en a d’autres qui sont, en datations, farfelues, comme la prise de Jéricho qui prouve par l’archéologie que la ville à subit un gigantesque incendie et que les murs de fortification se sont écroulés, mais pas à la date biblique sous Josué.

Trois siècles après leur installation dans la province de Goshen les Hébreux commencent à être plus nombreux que les autochtones alors le Roi d’Égypte les embauches et les faits travailler plus en espérant qu’ils seront fatigués, mais la démographie ne diminue pas, alors le Pharaon de l’époque et les haut-fonctionnaires se fâchent et les Hébreux sont considérés comme prise de guerre et deviennent esclave, et là, les plus durs travaux sont pour eux, et la démographie ne diminue pas.

C’est dans ce contexte que vient Moïse.

L’Exode est à l’origine de la fête juive de la Pâque et est considéré comme l’évènement fondateur de l’identité des « enfants d’Israël » et de leur relation avec EL-SHADDAÏ.

Voici le texte biblique, Exode XII : 12-19

« Cette nuit-là je parcourrai l'Égypte et je frapperai tous les premiers-nés dans le pays d'Égypte, tant hommes que bêtes, et de tous les dieux d'Égypte, je ferai justice, moi - EL-SHADDAÏ- Yahvé.

Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous vous tenez. En voyant ce signe, je passerai outre -- par-dessus -- et vous échapperez au fléau destructeur lorsque je frapperai le pays d'Égypte.

Ce jour-là, vous en ferez mémoire et vous le fêterez comme une fête pour -EL-SHADDAÏ- Yahvé, dans vos générations vous la fêterez, c'est un décret perpétuel.

Pendant sept jours, vous mangerez des azymes. Dès le premier jour vous ferez disparaître le levain de vos maisons car quiconque, du premier au septième jour, mangera du pain levé, celui-là sera retranché d'Israël.

Le premier jour vous aurez une sainte assemblée, et le septième jour, une sainte assemblée. On n'y fera aucun ouvrage, vous préparerez seulement ce que chacun doit manger.

Vous observerez la fête des Azymes, car c'est en ce jour-là que j'ai fait sortir vos armées du pays d'Égypte. Vous observerez ce jour-là dans vos générations, c'est un décret perpétuel.

Le premier mois, le soir du quatorzième jour, vous mangerez des azymes jusqu'au soir du vingt et unième jour.

Pendant sept jours il ne se trouvera pas de levain dans vos maisons, car quiconque mangera du pain levé sera retranché de la communauté d'Israël, qu'il soit étranger ou né dans le pays. »

Vous constaterez le mystère de ce signe - le sang- car il correspond à un rite païen de protection.

La Pâque est donc devenue la célébration de la libération du peuple hébreu. C’est un transfert de l'esclavage à la liberté, la renaissance du peuple d'Israël, comme le printemps est la régénération de la nature.

La Pâque devient le synonyme de liberté, liberté pour le peuple Hébreu, mais contre cette liberté dix Lois seront à respecter, c’est le « Décalogue » biblique où les « Dix Commandements ». Si seulement les humains de toute la Terre m’étaient en pratique juste ces dix Lois, les guerres, les meurtres et assassinas cesseraient, et il n’y aurait plus de famine.

Pour cette année 2019 la Pâque pour nous « Enfants » d’EL-SHADDAÏ aura lieu le vendredi 19 Avril entre « les deux soirs », c’est-à-dire après le coucher du soleil qui varie en France entre 20h 15mn et 21h 14mn selon la région et la latitude de votre ville ou village où vous habitez, donc je vous conseille de regarder sur « Internet » ou sur votre « portable » l’éphéméride de votre région

N’oubliez pas c’est une fête où nous mangerons en famille si possible ou avec des amis, la seule obligation du pain sans levain au repas, une viande où l’os n’a pas été brisé, et une bonne bouteille de vin, mais de cela je vous le rappellerais avant le 19 Avril.

Portez-vous bien !

Prenez soins de vous, de votre famille !

Salutations cordiales à Tous !

Sig : J-P.G. dit « GRANDELOUPO »

 






Alliances, chap. N° 9 - Retour de déportation

31/07/2018 06:54

Alliances, chap. N° 9 - Retour de déportation


Au lire de toutes ces prophéties des grands et petits « Prophètes », nous voyons se dessiner le « péché » responsable de tous les maux de l’humain, particulièrement celui de l’idolâtrie, comme aujourd’hui il s’étend à toutes les Nations définitivement corrompues et inconvertissables, (Jérémie XIII : 23) et c’est ce débordement du mal qui appellera le châtiment d’EL-SHADDAÏ par son grand jugement du « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ », (Isaïe II : 17-22).

Le pays d’Israël était bien avant l’ère des Rois, à l’époque de Josué et après la période des Juges, un seul et unique pays représenté par les « Douze Tribus ». Le pays d’Israël fut divisé en deux après la mort du roi Salomon, suite à sa dépravation avec des « Dieux Étrangers », car par amour pour ses femmes il fit construire des stèles pour leurs dieux, I Roi XI : 4-7 « Quand Salomon fut vieux, ses femmes détournèrent son cœur vers d'autres dieux et son cœur ne fut plus tout entier à Yahvé son Dieu comme avait été celui de son père David. Salomon suivit Astarté, la divinité des Sidoniens, et Milkom, l'abomination des Ammonites. Il fit ce qui déplaît à EL-SHADDAÏ et il ne lui obéit pas parfaitement comme son père David. C'est alors que Salomon construisit un sanctuaire à Kemosh, l'abomination de Moab, sur la montagne à l'orient de Jérusalem, et à Milkom, l'abomination des Ammonites. Il en fit autant pour toutes ses femmes étrangères, qui offraient de l'encens et des sacrifices à leurs dieux. », alors qu’EL-SHADDAÏ a cela en abomination, mais à cause de son père David la dislocation du pays d’Israël aura lieu après le décès de Salomon.

 

 

 

 

Les Alliances entre un Dieu et les humains

 

 

Chapitre N° 9

 

Retour de déportation

 

Construction « Second Temple »

 

Esdras et Zorobabel remettent l’Alliance de Moïse

 

 

Retour au penchant idolâtre

 

Isaïe, Osée, Amos et Michée prophétisent pendant les mêmes dates -740 à -687 de l’EC, et Jérémie se servira des prophéties d’Osée avec l’allégorie du mariage entre un « Peuple » Israël, qui là symbolise les « Dix Tribus », et leur Dieu EL-SHADDAÏ, Osée II.

Au lire de toutes ces prophéties des grands et petits « Prophètes », nous voyons se dessiner le « péché » responsables de tous les maux de l’humain, particulièrement celui de l’idolâtrie, comme aujourd’hui, il s’étend à toutes les Nations définitivement corrompues et inconvertissables, Jérémie XIII : 23, « Un Éthiopien peut-il changer de peau ? Une panthère de pelage ? Et vous, pouvez-vous bien agir, vous les habitués du mal ? », c’est ce débordement du mal qui appellera le châtiment de l’Être Suprême par son grand jugement le « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ » Isaïe II : 17-22 « L'orgueil humain sera humilié, l'arrogance de l'homme sera abaissée, et EL-SHADDAÏ sera exalté, lui seul, en ce jour-là. Les faux dieux, en masse, disparaîtront. Pour eux, ils iront dans les cavernes des rochers et dans les fissures du sol, devant la Terreur d’EL-SHADDAÏ, devant l'éclat de sa majesté, quand il se lèvera pour faire trembler la terre. En ce jour-là, l'homme jettera aux taupes et aux chauves-souris ses faux dieux d'argent et ses faux dieux d'or, ceux qu'on lui a fabriqués pour qu'il les adore, il s'en ira dans les crevasses des rochers et dans les fentes des falaises, devant la Terreur d’EL-SHADDAÏ, devant l'éclat de sa majesté, quand il se lèvera pour faire trembler la terre. Tenez-vous à l'écart de l'homme, qui n'a qu'un souffle dans les narines ! A combien l'estimer ? »

Dans l’Alliance de Moïse, l’Être Suprême appelle à la sanction collective, mais Jérémie commence à faire apparaître dans une ère messianique lointaine une rétribution individuelle, Jérémie XXXI : 29, « En ces jours-là on ne dira plus Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des fils sont agacées. », qu’Ézéchiel des années plus tard affirmera, (Éz XIII : 2), mais aussi au chapitre XXXII : 20 qui dit : « Je vous jugerai chacun selon votre conduite ! ». Le dicton avant cela exprimait le précepte de la responsabilité collective, mais après, Ézéchiel annonce pour l’avenir l’application d’un principe nouveau, l’imputation immédiat du châtiment personnel du pécheur.

Ce qui m’étonne le plus c’est la transposition qu’il y a avec notre époque et celle avenir, car aujourd’hui nous en sommes qu’aux prémices, comme une bise fraîche se lève et annonce l’orage un petit nombre d’humain sur toute la Terre se lèvera pour alerter du « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ »

En l’an -732 de l’EC, les hébreux de Galilée furent une première fois déportés par Téglath-Phalasar III (-745 de l’EC à -727 de J-C.) en Assyrie, sous le début du règne du roi israélite Osée (-732 de J-C. à -724 de l’EC). En -724 de l’EC, sous Salmanasar V, le siège de la capital Samarie commence, le roi Osée est emprisonné, et en l’an -721 de J-C, sous Sargon II, Samarie capitule, c’est la perte des « Dix Tribus d’Israël », les hébreux furent déportés en masse une autre fois dans tout le territoire Assyrien et en l’an -597 sous Nabuchodonosor II (-605 av. J-C à -562 av. J-C) toute la noblesse hébraïque et Palestinienne fut exilée en Mésopotamie et en l’an -587 de l’EC la ville de Jérusalem sera incendiée et son Temple piller avec la disparition mystérieuse de l’Arche d’Alliance qui dégageait une force phénoménale. Cette disparition restera une énigme et un mystère ! … !

A partir de ces dates rien ne sera plus comme avant et il y a ses soixante-dix ans, II Chroniques XXXVI : 20-21, « Puis Nabuchodonosor déporta à Babylone le reste échappé à l'épée ; ils durent le servir ainsi que ses fils jusqu'à l'établissement du royaume perse, accomplissant ainsi ce qu’EL-SHADDAÏ avait dit par la bouche de Jérémie : « Jusqu'à ce que le pays ait acquitté ses sabbats, il chômera durant tous les jours de la désolation, jusqu'à ce que soixante-dix ans soient révolus. », de disparition de tout, de la ville Sainte, du Temple et de l’Arche d’Alliance mais aussi des Tables des « Dix Paroles » écrite du doigt de l’Être Suprême, de la manne, du bâton d’Aaron, tout de l’Alliance de Moïse à disparue, étrange ! Je me pose un tas de questions, de pourquoi ? Et vous mes semblables, en lisant ceci, vous ferez comme moi ! Pourquoi ? Pourquoi avoir choisi un « Peuple » pour que tout ce qui les relie indirectement à leur Dieu disparaisse

C’est l’abandon d’EL-SHADDAÏ annoncé à son Peuple, Jérémie XVI : 11,13, « Alors tu leur répondras : « C'est que vos pères m'ont abandonné oracle d’EL-SHADDAÏ ils ont suivi d'autres dieux, les servant et se prosternant devant eux. Et moi, ils m'ont abandonné, ils n'ont pas gardé ma Loi ! » « Je vous jetterai donc hors de ce pays, dans un pays inconnu de vous et de vos pères, là vous servirez d'autres dieux, jour et nuit, car je ne vous ferai plus grâce.», mais pour comprendre cet abandon de ce « Dieu » vers son « Peuple » il faut savoir II Chroniques XXIV : 20, « L'Esprit d’EL-SHADDAÏ revêtit Zacharie, le fils du prêtre Yehoyada, qui se tint debout devant le peuple et lui dit : « Ainsi parle EL-SHADDAÏ. Pourquoi transgressez-vous les commandements d’EL-SHADDAÏ sans aboutir à rien ? Parce que vous avez abandonné EL-SHADDAÏ, il vous abandonne. » et maintenant avec ces soixante-dix ans de désolation, d’abandon, de ruine, le Temple n’existe plus, les murailles d’enceinte qui entourait la ville de Jérusalem n’existe plus et à l’intérieur de cette ville c’est la dévastation, la déliquescence avec une odeur de décomposition, acre de calcination, c’est l’anéantissement d’une ville religieuse qui va rester à l’abandon pendant une cinquantaine d’année jusqu’en -536 de l’EC sous Cyrus le Grand dit le « Perse » qui autorise les Judéens et les Hébreux à revenir de leur exil pour reconstruire le Temple du « Dieu du Ciel » à Jérusalem.

L’Être Suprême ne désirait pas la ruine totale de son « Peuple », car aussi bien chez les déportés que sur ceux qui sont restés au Pays, Il suscita un « Reste » qui aura été épargné en chair et en esprit, mais maintenant, à partir de l’an -586 de l’EC, malgré une relance pieuse du Gouverneur de Judée Zorobabel en l’an -536 de l’EC pour la construction du Second Temple qui sera terminé en l’an -516 av. J-C., puis du prophète Esdras sur les lois de l’Alliance de Moïse, l’ancien « Peuple » d’EL-SHADDAÏ se désagrège doucement jusqu’à sa disparition complète en l’an 70 de notre ère quand l’Empereur romain Titus incendiera la ville Jérusalem et surtout rasera son « Second Temple ». Le pays d’Israël n’existe plus, il est rayé des cartes du monde, et normalement la civilisation hébraïque aurait dû disparaître aussi. Il faudra attendre pendant mille huit-cent-soixante-dix-huit ans (1878) soit l’an 1948 pour que le Pays d’Israël soit de nouveau sur les cartes topographiques du monde.

Même à l’époque de la Révolte des Maccabées, EL-SHADDAÏ est absent, les hébreux avaient pourtant reconstruit un sanctuaire pour leur Dieu qu’il nomme Yahvé, fini complètement en l’an -516 de l’EC, après soixante-dix ans (70) de consternation, mais jamais l’Être Suprême ne prit possession de ce Temple, la fracture entre un Dieu et l’humain était maintenant certaine et visible par toutes les Nations de la Terre. Comme EL-SHADDAÏ, l’avait annoncé par l’intermédiaire de ses prophètes, Jérémie V : 18-19, « Pourtant, même en ces jours-là oracle d’EL-SHADDAÏ je ne vous exterminerai pas complètement. Et quand vous demanderez : « Pourquoi EL-SHADDAÏ, notre Dieu, nous a-t-il fait tout cela ? » Tu leur répondras : « De même que vous m'avez abandonné pour servir en votre pays des dieux étrangers, de même vous servirez des étrangers en un pays qui n'est pas le vôtre ! » », « son Peuple », ce « Peuple » choisit par Lui, « Dieu » seul, unique, créateur de tout l’Univers, de tout ce qui est vie dans cet infini, a délibérément et volontairement choisit une autre manière de vivre, avec l’adoration, la vénération, la glorification de « dieux » façonnés de mains humaines, en bois, fer, pierre,  et autres matières destructibles, et devant ces objets ce « Peuple » se prosterne, prie, ces figurines déifiées, incapables de répondre, (Sagesse de Salomon XIV : 11-21), Jérémie X : 3-6, « Oui, les coutumes des peuples ne sont que vanité; ce n'est que du bois coupé dans une forêt, travaillé par le sculpteur, ciseau en main, puis enjolivé d'argent et d'or. Avec des clous, à coups de marteau, on le fixe, pour qu'il ne bouge pas. Comme un épouvantail dans un champ de concombres, ils ne parlent pas ; il faut les porter, car ils ne marchent pas ! N'en ayez pas peur : ils ne peuvent faire de mal, et de bien, pas davantage. Nul n'est comme toi, EL-SHADDAÏ, tu es grand, ton Nom est grand dans sa puissance. », de parler, de réfléchir, car ils n’ont pas de cœur, pas de cerveau. Alors ce Dieu de l’Univers, Dieu de tous les humains, de toute la Planète Terre, qui parmi ces derniers avait choisi un peuple qui serait la descendance d’un seul humain et pour reconnaître cette postérité, qui allait former « son Peuple » sur la Terre, en terre étrangère, il le marqua dans sa chair par la circoncision, Genèse XVII : 1,4, 11-12, « Lorsqu'Abram eut atteint quatre-vingt-dix-neuf ans, Yahvé lui apparut et lui dit : Je suis El Shaddaï, marche en ma présence et sois parfait. » « Moi, voici mon alliance avec toi : tu deviendras père d'une multitude de nations. »

« Vous ferez circoncire la chair de votre prépuce, et ce sera le signe de l'alliance entre moi et vous. Quand ils auront huit jours, tous vos mâles seront circoncis, de génération en génération »., comme les humains marquaient les animaux des troupeaux pour reconnaître leur propriétaire et par l’intermédiaire de ce « Peuple » il se fit connaître sur la Terre entière.

 Tout le Bassin Méditerranéen connaissait le peuple hébreu et craignait son Dieu car, tous connaissaient « la Force et la Puissance » de ce Dieu et de « l’Arche d’Alliance », mais tout cela était maintenant dans les oubliettes.

EL-SHADDAÏ le Dieu de ce « Peuple » allait se tenir comme ce Peuple, comme ces humains, qui, malgré tous les exploits, de ce Dieu, leur Dieu, un Dieu qui parlait, pensait, prévenait, pardonnait une multitude de fois, mais ce « Peuple », son Peuple qu’il prit par la main pendant des décennies, voire des siècles, avec la nuque raide, un cœur de pierre, un esprit de supériorité par rapport aux autres humains, voilà pourquoi l’Être Suprême abandonna ce « Peuple » ingrat, Jérémie XIX : 3-5 « Ainsi parle Yahvé Sabaot, le Dieu d'Israël : Voici que j'amène un malheur sur ce lieu. Les oreilles en tinteront à quiconque l'apprendra ! Car ils m'ont abandonné, ils ont rendu ce lieu méconnaissable, ils y ont offert l'encens à des dieux étrangers que n'avaient connus ni eux, ni leurs pères, ni les rois de Juda. Ils ont rempli ce lieu du sang des innocents. Car ils ont construit des hauts lieux de Baal, pour consumer au feu leurs fils, en holocauste à Baal; cela je ne l'avais jamais ordonné, je n'en avais jamais parlé, je n'y avais jamais songé ! », lui infligeant durement les maux des Nations, car tous les humains, Hébreux et Judéens avaient été déportés mais ce Dieu avait, chez les relégués, comme chez ceux qui sont restés, suscité un « Reste » dont les prophètes Esdras, Aggée, Zacharie, Malachie et Néhémie feront partie ainsi que le gouverneur Zorobabel qui sera l’instrument d’EL-SHADDAÏ, avec le grand prêtre Josué.

Ce Dieu seul et unique ne désirait pas l’anéantissement total de son « Peuple » mais à partir de -586 de l’EC, après les soixante-dix ans de désolation complète ce Dieu suscita la construction d’un nouveau Temple, par un « Reste » comme déjà écrit plus avant terminé en -516 de l’EC et un fait étrange cinq-cent-quatre-vingt-six ans (586) plus tard, soit en l’an 70 de notre ère, sera rasé,  et ne sera plus que ruine et plus jamais l’on ne parlera de ce « Temple » mystérieux symbole d’une religion.

Depuis l’Alliance de Moïse jusqu’à -586 de l’EC., les hébreux subirent des sanctions collectives par la destruction des villes et la déportation. Après la reconstruction du Temple terminé en l’an -516 et fêté par la Pâque de -515- sous l’influence intransigeante du prophète Esdras, les hébreux reviennent pour quelques temps à une conception religieuse collective, les Lois du Sinaï étant revenues primordiales. Les derniers prophètes à écrire les augures sur EL-SHADDAÏ et son « Peuple » sont Esdras, Néhémie, et Malachie dont les écritures se terminent en -398, -395 de l’EC., après cela il y aura la Révolte des Maccabées qui est une partie de l’histoire du peuple hébreu. A partie de ces dates c’est le Grand Prêtre qui est Gouverneur de ce que l’on nomme la Judée dont fait partie Jérusalem et ce Second Temple est juste un repère religieux car la Politique et la Religions se confondent, et le religieux change. La Palestine, dont fait partie l’ancien Israël, et l’ancien Royaume de Juda, après avoir subit l’invasion de l’empire Assyrien, puis Babylonien, endure après l’occupation de l’Empire Grec et la Palestine s’hellénise par la force ainsi que le Delta du Nil en Basse Égypte, comme une bonne partie du Bassin Méditerranéen, mais la langue du commerce maritime reste l’Araméen, viendra ensuite l’assujettissement de l’Empire Romain.

Au cours de la deuxième année du règne de Darius Ier, les travaux de reconstruction du Temple reprirent et aboutirent (Esdras V : 6-17 ; VI : 1-15), sous les injonctions, conseils et adjonctions des prophètes Aggée et Zacharie. Le Temple fut prêt à être consacré au cours du printemps de l’an 516 av. l’EC., Esdras VI : 14-15, « Quant aux anciens des Juifs, ils continuèrent à bâtir, avec succès, sous l'inspiration d'Aggée le prophète et de Zacharie, fils d'Iddo. Ils achevèrent la construction conformément à l'ordre du Dieu d'Israël et à l'ordre de Cyrus et de Darius. Ce Temple fut terminé le vingt-troisième jour du mois d'Adar c'était la sixième année du règne du roi Darius. », plus de vingt ans après le retour de la captivité babylonienne. A savoir Darius commença son règne en -522 de l’EC., et le mois d’Adar est le douzième mois de l’année biblique, mais le sixième mois de l’année politique équivalent à notre mois de juin

Maintenant voilà quelques décennies que le Gouverneur fidèle à EL-SHADDAÏ, Zorobabel, ainsi que le Grand Prêtre Josué et les prophètes Esdras, Néhémie et Malachie sont décédés ; la Politique et la Religion ne font qu’un, puisque c’est le Grand Prêtre qui est le gouverneur des provinces de Judée, Galilée et limitrophes

Après la conquête de la Judée par les Grecs, Jérusalem passe sous la domination Lagide puis Séleucide. Au début du IIème siècle av. l’EC., le grand prêtre Simon entreprend d'importants travaux de rénovation du Temple. On trouve aussi des détails dans les Livres des Chroniques, dans les Livres des Maccabées et dans les écrits de Philon d’Alexandrie et de Flavius Josèphe. Le culte tel qu’il était pratiqué au IIème siècle av. l’EC., est décrit dans la lettre d’Aristée et dans le chapitre L du Siracide.

Une constatation, EL-SHADDAÏ n’a pas pris possession de ce « Second Temple », et pourtant ce « Temple » représente son « Nom », ainsi que sa présence sur la Terre, mais à partir de -516 de l’EC., il ne se mêlera plus des affaires humaines, il envoie ses derniers prophètes pour prévenir l’humain et pour le petit « Reste » il enverra son propre Fils sur la Terre, mais là encore, prophétiquement il décrira la fin avec « la Parabole du Vigneron ».

Comme écrit plus avant la religion ainsi que la vie du « Peuple » choisit mène une vie sociétale de collectivité égalitaire, pas de très, très riches, ni de très, très pauvres, mais cette vie collégiale changera en voulant vivre comme les Nations où le riche deviendra plus riche et le pauvre beaucoup plus pauvre avec un nombre croissant.

Vient parallèlement la sanction qui est collective, mais avec la Diaspora cette sanction deviendra beaucoup plus individuelle, car maintenant c’est l’humain qui doit « chercher » EL-SHADDAÏ, c’est-à-dire précise le prophète Sophonie II ; 3, « Cherchez EL-SHADDAÏ, vous tous les humbles de la terre, qui accomplissez ses ordonnances. Cherchez la justice, cherchez l'humilité : peut-être serez-vous à l'abri au jour de la colère d’EL-SHADDAÏ. », accomplir ses ordonnances, suivre le droit dans l’humilité. Dans les visions prophétiques deux plans du châtiment se superposent, celui qui est immédiat et un autre beaucoup plus lointain qui se prolonge vers une inconnue que ces visionnaires ne peuvent pas définir, sauf sur le thème d’un jugement imminent, puis celui du « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ » dans les « Dernières Générations » beaucoup plus éloigné, mais dans les deux cas il épargne un « Reste ».

Très instructif toute cette partie biblique qui est historique avec ces grands guerriers qui deviennent Empereur et construisent des empires par les armes. La guerre à cette époque durait du milieu du printemps jusqu’à la mi- automne et les humains se battaient en corps-à-corps. L’humain possèdent un esprit contrairement à l’animal qui fonctionne à l’instinct, pour manger, se reproduire, mais lui l’humain réfléchit, pense, raisonne et toutes ses actions sont volontaire, donc quand il se bat, il se tue pour qui, pourquoi ?

Je vous laisse à votre propre réflexion !

Portez-vous bien ! Prenez-soin de votre maisonnée et de vous-même !

Salutations cordiales à tous !

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 






Alliances, chap. N° 8 - Les Prophètes augurent les évènements

13/07/2018 06:51

Alliances, chap. N° 8 - Les Prophètes augurent les évènements


Prologue

 

Voilà plus d’un mois et demi que je n’ai rien poser sur ce blog. Les recherches et la compréhension de l’état d’esprit de nos ascendants fut assez compliqué. J’écris nos ascendants car nous ignorons de qui nous venons mais une chose est certaine nos ascendants sont la centaine d’humains qui était dans l’Arche et qui traversèrent le Déluge et eux sont les descendants d’Adam, mais là tout est une question de croyance, car ou nous croyons à notre création, ou nous sommes dans l’inconnue, puisqu’il fut démontré par les scientifiques du monde entier que l’Évolution de Darwin est une grosse fumisterie, alors je repose la question, d’où venons-nous ? D’une autre planète ? Puisqu’il fut prouvé par les archéologues et les géologues que toute la terre de la Planète Terre a subi une guerre atomique avant le Déluge et que c’est l’effondrement de la voûte Céleste qui occasionna se Déluge, et que la terre de la planète Terre resta environ neuf mois sous l’eau avec des mouvements de fond marins ainsi que des explosions volcaniques cent fois supérieur à l’Échelle de Richter pour nettoyer la terre de la Planète Terre de toute la radio activité et tout cela changea la forme géographique des continents mais surtout leur séparation qui est relativement jeune, pas plus de dix mille ans. Tout ce que je viens d’écrire est démontré par plusieurs scientifiques du monde entier, mais le monde actuel est-il capable d’accepter les vérités qui transformeraient nos livres scolaires, et ceux de nos étudiants, ainsi que les professeurs et maitres de nos écoles avec un autre objectif ?, Pas sûr et incertain !

 

 

Dernières phrases du chapitre précédent

 

Il sait que l’épreuve sera sévère, mais il espère qu’un « Reste » sera épargné, dont le Messie, le Roi. Isaïe est le plus grand des prophètes messianiques. Le Messie qu’il annonce est un descendant de David, qui fera régner sur la Terre la paix, la justice, et répandra la connaissance d’EL-SHADDAÏ, son Père : Is. II :1-5 ; VII :10-17 ; IX : 1-6 ; XI :1-9 ; XXVIII : 16-17. La Bible dit d’Isaïe : « Un tel germe religieux a profondément marqué son époque et a fait école. Le Livre qui porte son Nom, comme le « Rouleau de Cuivre » est le résultat d’un long travail de composition dont il est impossible de restituer toutes les étapes ».

Les Hébreux, Judéens, Israélites, Juifs, tous ces noms pour désigner un seul peuple reconnaissable dans sa chair devant toutes les Nations et tous les Pays, par la circoncision, qui devait avoir lieu le huitième jour après la naissance de l’enfant mâle. A l’ère de Moïse les Hébreux était fière de leur civilisation, de leur religion, de leur mode de vie sociétale, mais quelques siècles plus tard ils voulurent être gouverné comme les Nations qui les entouraient avec un « Roi », ce fut le commencement du déclin, et leurs filles épousèrent des fils des Nations et les fils hébreux épousèrent des filles des Nations et par amour, souvent ils embrassèrent les « Dieux » de leur épouse ou de leur mari, et l’idolâtrie entra dans le cœur et ces humains et aussi par l’Esprit de conviction, car l’Esprit, la pensée, le raisonnement l’intelligence est comme le vent invisible, non répartie égalitairement entre chacun et il y a aussi cette relation invisible, intouchable, cœur-esprit, que l’on nomme sentiments.

 

 

Les Alliances entre un Dieu et les humains

 

 

Chapitre N° 8

 

 

Les Prophètes augurent les événements

 

Dans la prophétie le « Germe » semble être le reste des hébreux qui sont restés en Palestine et après -d’Isaïe -587 de l’EC en Judée et en territoires limitrophes comme à la première dispersion des hébreux un « Reste » était aussi restés dans ce que l’on appelait avant « Israël ». Tout ce « Reste », qui était des pauvres où plus exactement de la basse classe, agriculteurs et bergers, n’était pas du point de vu religieux pour les Lois de « l’Alliance de Moïse », une petite partie resté fidèle à EL-SHADDAÏ fut certainement protégée par Lui, par ses Anges. Je viens d’écrire pour l’époque de -721 la capitulation de Samarie et la dispersion des « Dix Tribus d’Israël ». Isaïe prophétise de -740 à -687 tout comme le prophète Osée et ils subirent cette première déportation.

Le prophète Jérémie presqu’un siècle plus tard de -640 à -587 écrira et subira la seconde déportation car le Royaume de Juda n’a pas retenu la leçon des dix tribus d’Israël. Historiquement Isaïe prophétisera jusqu’en l’an -700 de l’EC car à partir de cette date il n’existe plus de prophétie venant de lui mais de source hébraïque il serait décédé sous la torture pendant le règne de Manassé -687 - -642 vers ces quatre-vingt, quatre-vingt-cinq ans, sachant que sa naissance était vers -765.

Isaïe le premier écrit sur un Serviteur qui sera un « Germe » parmi un « Reste », mais Jérémie lui écrira sur une « Nouvelle Alliance » alors nous allons penser, réfléchir, raisonner, sur tous ces signes annoncés où les humains des Nations de la Terre viendront vers ce Dieu seul et unique et formeront son « Nouveau Peuple. »

EL-SHADDAÏ va punir son peuple, « les Dix Tribus d’Israël » leur annonçant que les humains seront dispersés sur toute la surface de la terre et qu’ils n’existeront plus en tant qu’Israël, mais il annonce aussi la destruction de Jérusalem et dans les deux cas il restera un « Reste ». D’Israël sortira un « Germe » et de « Sion » qui est Jérusalem un « Reste », Isaïe IV : 2-3, « Ce jour-là, le germe d’EL-SHADDAÏ deviendra parure et gloire, le fruit de la terre deviendra fierté et ornement pour les survivants d'Israël. Le reste laissé à Sion, ce qui survit à Jérusalem, sera appelé saint, tout ce qui est inscrit pour la vie à Jérusalem. ». Le « Peuple » choisit par cet Être Suprême, se croit protégé par Lui car il se trouve meilleur que les humains des autres Nations. C’est cette manière de pensée qui les amènera à leur perte, car ce Dieu, leur Dieu, qui est aussi le Dieu de toutes les Nations, mais ces dernières ne le connaissent pas encore, les trouves trop orgueilleux pour reconnaître leurs péchés et revenir à ces Lois et quitter l’idolâtrie.

Amos le prophète de -781 à 743 prophétise sur « les Dix Tribus » et est très sceptique sur un « Reste », pour y croire en fin de prophétie.

Michée qui prophétisa à la même époque qu’Isaïe -740 à -687, écrit sur la naissance de Jésus le Nazôréen, Michée V : 2, « C'est pourquoi il les abandonnera jusqu'au temps où aura enfanté celle qui doit enfanter. Alors le reste de ses frères reviendra aux enfants d'Israël. » Ce verset des écrits de Michée prouve qu’EL-SHADDAÏ abandonnera son peuple, les Israélites jusqu’à la venue de son fils engendré sur la Terre.

Même le prophète Sophonie sous le règne du Roi Josias -640 à -609 parle d’un reste qui sera modeste et humble devant ce Dieu seul et unique et en Lui il cherchera refuge. Jérémie prophète qui vécut un siècle après Isaïe -640 à -586 par ces écrits prouve la justice de ce Dieu seul, unique car il dit à ce peuple mauvais en Jérémie V : 18, «  Je ne vous exterminerai pas complètement », donc il sait que parmi ces humains il y en a des bons qu’il protègera et aux autres il leur conte : « Comme vous m’avez abandonné pour servir des Dieux étrangers dans votre propre pays, je vous disperserais sur toute la terre pour servir des étrangers dans un pays qui ne sera pas le vôtre. », mais il gardera un petit « Reste » dans le pays pour le servir Lui, EL-SHADDAÏ, et pas un autre.

Dans la vision d’Ézéchiel IX : 4, « EL-SHADDAÏ lui dit : « Parcours la ville, parcours Jérusalem et marque d'une croix au front les hommes qui gémissent et qui pleurent sur toutes les abominations qui se pratiquent au milieu d'elle. » l’Ange destructeur doit supprimer, trucider tous les humains sauf ceux marqués au front, qui représente le « Reste » messianique

Israël infidèle fut châtié, mais parce que EL-SHADDAÏ aime son « Peuple », un petit « Reste » échappa à l’épée destructrice des envahisseurs. Demeuré à Jérusalem, ce « Reste » purifié et désormais fidèle deviendra une Nation puissante. Mais les démons reviennent à la charge et ce « Reste » recommencera à quitter les Lois de l’Être Suprême en retournant vers l’idolâtrie. Ce « Peuple » choisi est vraiment indécrottable, infidèle et sans cœur alors EL-SHADDAÏ enverra les babyloniens détruire Jérusalem et son Temple en -587. Plus rien ne sera comme avant, à partir de cette date « l’Arche d’Alliance » ayant été soit détruite, soit enlevée. Le « Reste » fera partie des déportés, mais un autre « Reste » naîtra à Jérusalem. Au retour d’Exil les deux « Reste » seront réunis, mais malheureusement encore une fois, les humains représentant ce « Reste » recommenceront leur idolâtrie, alors EL-SHADDAÏ les épurera comme on épure l’or précieux, Zacharie XIII : 9, « Je ferai entrer ce tiers dans le feu, je les épurerai comme on épure l'argent, je les éprouverai comme on éprouve l'or. Lui, il invoquera mon nom, et moi je lui répondrai, je dirai : Il est mon peuple ! et lui dira : EL-SHADDAÏ est mon Dieu ! »

En fait, c’est le Messie qui sera le véritable « Germe » du nouvel Israël messianique purifié et sanctifié. Le seul Dieu de l’Univers se sert des Nations pour punir sont « Peuple » comme exemple il s’appuie sur l’Assyrie avec Téglath-Phalasar III en l’an -735 ou en l’an -732, avec Salmanasar en l’an -722, puis Sargon II en l’an -721 et en l’an -711, ensuite Sennachérib en l’an -701, et il prend toujours des Nations puissantes pour punir son « Peuple » qui après l’an -586 ira tout doucement en désuétude et la Palestine comme le royaume de Juda sera sous le domination de l’empire Grec, puis Romain et à l’ère de Jésus le Nazôréen le « Peuple » choisi n’existait plus, seul « le Temple » avait encore un peu d’importance, mais il y a bien des siècles qu’EL-SHADDAÏ avait quitté « le Saint des Saints » et de ce « Peuple » choisi il ne subsistait qu’un « Reste » éparpillé et orphelin, mais ce « Reste » aimait profondément EL-SHADDAÏ avec le cœur sans rien en échange, juste une certitude qu’il existait, qu’il était au-dessus de leur tête, et que ce Dieu les jugeait au plus profond de leur cœur, de leur pensé, de leur esprit.

Je m’aventure peut-être, mais je pense que les soixante-douze Disciples choisit par Jésus le Nazôréen faisaient partie de ce « Reste », de ces orphelins. Un certain nombre de prophète a annoncé la venue d’un Messie, d’un Pasteur supérieur aux autres, qui paîtrait le troupeau par le cœur sans arrières pensées, uniquement par amour, Malachie III : 1, « Voici que je vais envoyer mon messager, pour qu'il fraye un chemin devant moi. Et soudain il entrera dans son sanctuaire, le Seigneur que vous cherchez, et l'Ange de l'alliance que vous désirez, le voici qui vient ! » dit EL-SHADDAÏ Sabaot » fait partie de ce nombre tout comme Isaïe XL : 3-5, « Une voix crie : « Dans le désert, frayez le chemin d’EL-SHADDAÏ, dans la steppe, aplanissez une route pour notre Dieu.

Que toute vallée soit comblée, toute montagne et toutes collines abaissées, que les lieux accidentés se changent en plaine et les escarpements en large vallée. Alors la gloire d’EL-SHADDAÏ se révélera et toute chair, d'un coup, la verra, car la bouche d’EL-SHADDAÏ a parlé. »

Parmi les prophètes Malachie fait partie des derniers et il prophétisera après la construction « du Second Temple » tout comme Esdras et Néhémie qui serait les deux derniers prophètes avant Jésus le Nazôréen et Néhémie aurait arrêté ses augures vers -398 ou -390 car l’on ignore si c’est Esdras ou Néhémie qui présagea en dernier.

Esdras et Néhémie augurent à la même époque, mais nous ignorons la date d’arrêt de leur prophétie. C’est le prophète Esdras, qui avec autorité, avait remis les Lois de Moïse en pratique, ainsi que toutes les fonctions sacerdotales, avec les fêtes religieuses, comme la fête de la Pâque au mois d’Abib ou de Nisân premier mois de l’année religieuse, puis la fête des moissons, qui était celle des Semaines, la Pentecôte chez nous, qui se calcule, soit en comptant le lendemain du septième Sabbat à partir du premier Sabbat après la fin des « Pains Azymes », soit en comptant cinquante jours à partir du lendemain du premier Sabbat de la fête des « Pains Azymes », et pour faire plus simple, à partir du « lundi » de la fêtes de Pâques chrétienne, ensuite au septième mois religieux, le mois de « tishri », qui est le premier mois de l’année politique, le dixième jour de ce mois, c’est le jour de l’Expiation, le pardon du péché pour les prêtres en premier et pour la population ensuite et c’est ce jour et uniquement ce jour que le Grand Prêtre pouvait entrer dans le « Saint des Saints », et, plus d’un de ces humains, « les Grands Prêtres », y laissèrent leur vie, foudroyé, voilà pourquoi ces « Prêtes » était ceint d’une cordelette de lin et d’or, une incompréhension pour beaucoup d’archéologue, surtout que cette pièce était complètement vide depuis la disparition de « l’Arche d’Alliance », après la fête des récoltes, qui est la fête des Tentes, qui a lieu le septième mois, le quinzième jour et qui durait sept jours.

Revenons pour un instant à notre époque ; voilà plus de dix- sept, dix-huit siècles que l’humain a été abandonné par son créateur, car l’humain encore une fois de quelque chose qui aurait dû être propre, limpide, sans tache, comme « le Baptême » qui signifiait que l’on se lavait de son ancienne vie de péchés, pour une meilleure en suivant les Lois d’EL-SHADDAÏ, ainsi que les « Enseignements » de « Jésus le Nazôréen », mais les humains encore une fois ont transformés « ces Lois et Instruction » en plusieurs sectes et religions idolâtres.

Après la Révolte des Maccabées il n’y aura plus aucun écrit prophétique, le peuple choisi par le Dieu de l’Univers est dispersé sur toute la terre et un Reste est resté à Jérusalem et en Palestine qui est divisé en plusieurs provinces, exemple la Judée, la Galilée, etc..

Les nouveau Écrits seront les Évangiles et des Lettres, des Épitres écrits par des Disciples d’un humain nommé Jésus le Nazôréen, Matthieu II : 23 « Joseph vint s'établir dans une ville appelée Nazareth ; pour que s'accomplît l'oracle des prophètes : « Il sera appelé Nazôréen. » », ce sera le Nouveau Testament.

Ézéchiel dans l’Ancien Testament prophétise sur les « Pasteurs », ces Pasteurs qui sont des prêtres.  Au retour des hébreux d’exil la royauté ne sera plus, c’est le « Grand Prêtre » qui fera fonction de « Gouverneur » à la place d’un « Roi », et c’est lui qui détient le pouvoir, cela je vous l’avais déjà écrit. Les « Pasteurs » sont comparables aux prêtres qui paissent le troupeau, qui enseignent les fidèles, Jérémie dans ses prophéties l’applique aux Rois, mais Ézéchiel lui l’adapte aux prêtres leur reprochant d’avoir mal accompli leurs fonctions et annonce qu’EL-SHADDAÏ donnera à son peuple de nouveau « Pasteurs » qui le paîtront dans la justice, Ézéchiel XXXIV : 8-12, «  Par ma vie, oracle du Seigneur EL-SHADDAÏ, je le jure : parce que mon troupeau est mis au pillage et devient la proie de toutes les bêtes sauvages, faute de pasteur, parce que mes pasteurs ne s'occupent pas de mon troupeau, parce que mes pasteurs se paissent eux-mêmes sans paître mon troupeau, eh bien! pasteurs, écoutez la parole d’EL-SHADDAÏ. Ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ. Voici, je me déclare contre les pasteurs. Je leur reprendrai mon troupeau et désormais, je les empêcherai de paître mon troupeau. Ainsi les pasteurs ne se paîtront plus eux-mêmes. J'arracherai mes brebis de leur bouche et elles ne seront plus pour eux une proie. Car ainsi parle le Seigneur EL-SHADDAÏ : Voici que j'aurai soin moi-même de mon troupeau et je m'en occuperai. Comme un pasteur s'occupe de son troupeau, quand il est au milieu de ses brebis éparpillées, je m'occuperai de mes brebis. Je les retirerai de tous les lieux où elles furent dispersées, au jour de nuées et de ténèbres. », et il reproche aux « Pasteurs » leurs crimes, leurs méfaits envers le troupeau. EL-SHADDAÏ leur reprendra tous les troupeaux pour n’en faire qu’un qu’il paîtra Lui-même comme un Pasteur. Il donnera un Nouveau Pasteur à ses brebis de la lignée de David, un « Prince » qui prendra soin de toutes ses brebis terrestres dans une ère messianique, mais avant cela cet Être Suprême règnera lui-même sur son « Nouveau Peuple », puis son « Prince » dans la justice et dans la paix.

Dans ce texte biblique d’Ézéchiel nous remarquons l’allégorie du « Bon Pasteur » thème iconographique important du Moyen-Âge, (Jn X : 11-18), mais aussi la transcription favorite de Jésus le Nazôréen sur la « Brebis Égarée » (Mt XVIII : 12-14) que nous apercevons en filagramme dans le texte ci-dessus.

Les trois principaux prophètes, à des dates différentes, entre -740 et -571-69 Isaïe, Jérémie et Ézéchiel sachant que ces deux derniers ont prédit à la même époque sur la ville de Jérusalem, mais plus important sur une ère messianique.

Le « Pays » d’Israël était, bien avant l’ère des « Rois », à l’époque de Josué, successeur de Moïse, et après à la période des Juges, un seul et unique territoire représenté par les douze Tribus de Jacob surnommé Israël. Le « Pays d’Israël » fut divisé en deux après la mort du Roi Salomon suite à sa dépravation avec des « Dieux Étrangers », par amour pour ses femmes ; il fit construire des stèles pour leurs Dieux, (I Roi XI : 4-7), alors qu’EL-SHADDAÏ a cela en abomination, mais à cause de son père David la dislocation du pays aura lieu après le décès de Salomon.

Isaïe et Osée prophétisent pendant la même période -740 à -687 et Jérémie se servira des prophéties d’Osée et de son allégorie du mariage entre EL-SHADDAÏ et Israël, (Osée II).

Au lire de toutes ces prophéties des grands et petits « Prophètes », nous voyons se dessiner le « péché » responsable de tous les maux de l’humain, particulièrement celui de l’idolâtrie, comme aujourd’hui il s’étend à toutes les Nations définitivement corrompues et inconvertissables, (Jérémie XIII : 23) et c’est ce débordement du mal qui appellera le châtiment d’EL-SHADDAÏ par son grand jugement du « Jour de Colère d’EL-SHADDAÏ », (Isaïe II : 17-22).

Le pays d’Israël était bien avant l’ère des Rois, à l’époque de Josué et après la période des Juges, un seul et unique pays représenté par les « Douze Tribus ». Le pays d’Israël fut divisé en deux après la mort du roi Salomon, suite à sa dépravation avec des « Dieux Étrangers », car par amour pour ses femmes il fit construire des stèles pour leurs dieux, I Roi XI : 4-7 « Quand Salomon fut vieux, ses femmes détournèrent son cœur vers d'autres dieux et son cœur ne fut plus tout entier à Yahvé son Dieu comme avait été celui de son père David. Salomon suivit Astarté, la divinité des Sidoniens, et Milkom, l'abomination des Ammonites. Il fit ce qui déplaît à EL-SHADDAÏ et il ne lui obéit pas parfaitement comme son père David. C'est alors que Salomon construisit un sanctuaire à Kemosh, l'abomination de Moab, sur la montagne à l'orient de Jérusalem, et à Milkom, l'abomination des Ammonites. Il en fit autant pour toutes ses femmes étrangères, qui offraient de l'encens et des sacrifices à leurs dieux. », alors qu’EL-SHADDAÏ a cela en abomination, mais à cause de son père David la dislocation du pays d’Israël aura lieu après le décès de Salomon.

En lisant la vie des rois David et Salomon nous nous apercevons de la faiblesse de l’être humain et de la force du « Prince » de cette Terre, SAMMAËL, qui est le Maître absolu de cette planète Terre et de ses environs. Le roi David, pour posséder sa femme, fit tuer Hurie le Hittite, et le roi Salomon pour faire plaisir à ses femmes fit construire des stèles pour leurs dieux faisant entrer l’idolâtrie dans le pays et pourtant ces deux Rois étaient soutenus par EL-SHADDAÏ, leur Dieu, et malgré cela ils péchèrent gravement, l’un par meurtre et l’autre par idolâtrie.

Nous devons nous fortifier par le cœur et par l’esprit, sachant que l’esprit commande le cœur ! En effet, le mal entre dans l’esprit, puis il le travail, en le tournant, le malaxant, et le doute s’installe et il continue, et la pensée, le raisonnement, la réflexion, puis il atteint le cœur et là, il a gagné ! nous commettons le péché !

Portez-vous bien ! Prenez soin de vous !

Salutations cordiales pour Tous

Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »

 






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